Revues de presse

18 mars 2002

A propos de Daniel Mange, sachez que les Polonais sont invités par l'un de leurs quotidiens à découvrir le BioWall, construit par l'équipe du directeur du Laboratoire de systèmes logiques, comme vous pouvez vous en rendre compte en cliquant : http://www.rzeczpospolita.pl/gazeta/wydanie_020202/nauka/nauka_a_2.html

Ci-dessous la demi-page que la Liberté a accordé à la recherche de l'équipe du Dr Patrick Höhener sur la menace que représente un additif de l'essence, le MTBE, pour les eaux souterraines.

" Locataire ou propriétaire ? " : le livre publié par l'équipe du professeur Philippe Thalmann de l'EPFL aux PPUR donne lieu à plusieurs articles dans la presse. Le Journal du Jura (1263476) parle de " L'exception suisse ", une exception qui devrait durer à moins d'une amélioration des conditions-cadre en faveur de la propriété par rapport à la location. " La prestigieuse NZZ (1264511), qui sort depuis hier une excellente édition dominicale, accorde aussi une large place au livre du professeur Thalmann.

La presse nous renvoie un bon écho des activités du PSE. " Les clés de dix ans de succès ", titre 24 Heures (1264822) pour évoquer la première décade d'activité du Parc scientifique d'Ecublens. Son directeur Jacques Laurent précise que sur les quelque 66 start-up basées sur le site, 12 d'entre elles peuvent être considérées comme de " beaux succès ". " En fait, ajoute 24 Heures, sur les 90 sociétés qui ont passé par le parc, seules trois sont tombées en faillite et six ont arrêté leur activité, ce qui est fort peu. "

Il existe une " infinité de mondes semblables et différents du nôtre " : cette opinion ne date pas d'aujourd'hui, puisqu'elle a été défendue par Epicure au troisième siècle av. J.-C. Elle est citée dans un livre récent qui fait l'état des lieux de l'exobiologie. " L'attention, précise Le Temps (1264829), se porte sur mars, sur Europe - lune de Jupiter - et sur les planètes extrasolaires. " Publié aux éditions du Pommier, " Sur les traces du vivant : de la terre aux étoiles " contient notamment une contribution du professeur Daniel Mange, souligne le quotidien.

15 mars 2002

Le communiqué annonçant que des chercheurs de l'école ont démontré un risque de pollution des eaux souterraines lié aux vapeurs de MTBE a été repris tel quel dans La Liberté. L'article, titré " Un additif de l'essence menace les nappes phréatiques ", porte la signature " EPFL ". Autrement, L'Agefi et Le Temps (1262699), ont repris la dépêche de l'ats, alors que la NZZ (1262797) lui a préféré la version rédigée par AP (Associated Press).

La percée réalisée par des chercheurs de l'EPFL, qui sont parvenus à intégrer sur la même puce en silicium des circuits optiques et électroniques, est relatée pour la première fois avec une nuance de scepticisme, dans Computerworld Schweiz (1262758). Le léger doute de l'auteur ne s'exprime que dans le style, aucun argument ne venant le justifier. L'essentiel de l'article repose d'ailleurs sur le communiqué de l'EPFL. La découverte qu'il annonçait a déjà rencontré un grand succès médiatique.

14 mars 2002

Le communiqué annonçant aujourd'hui que des chercheurs de l'EPFL ont démontré un risque de pollution des eaux souterraines lié aux vapeurs de MTBE a fait l'objet d'une dépêche ats. Celle-ci, traduite en allemand, peut déjà être consultée sur le site Internet du Tages-Anzeiger en cliquant : http://www.tages-anzeiger.ch/ta/taOnlineNewstickerArtikel?ArtId=61633&rubrikid=643 Ci-dessous, le lead de la dépêche : Forscher beweisen Verschmutzungspotenzial von Benzinzusatzstoff LAUSANNE - Ein Unfall, bei dem auch nur eine geringfügige Menge Benzin auf den Erdboden ausläuft, kann zur Verschmutzung des Grundwassers führen. Dies ist das Ergebnis eines Versuchs, den Forscher an der ETH-Lausanne durchgeführt haben.

13 mars 2002

Est-ce un conte, une fable ou une méchante légende pour se moquer des fonctionnaires vaudois ? Non, c'est un fait réel que raconte Jacques Neirynck dans les colonnes du Temps (1257951). Cette histoire fantastique montre que la Suisse, et particulièrement l'EPFL, attire les jeunes cerveaux jusqu'en Chine, mais aussi que des efforts administratifs devraient être faits si l'on entend accueillir les meilleurs scientifiques de la planète et éviter le ridicule.

La molécule virtuelle née à l'EPFL se montre parfaitement bilingue et s'exprime aujourd'hui dans le St.Galler Tagblatt (1258540), quotidien qui tire à 110463 exemplaires !

12 mars 2002

L'Agefi (1256881) consacre un article à l'Institut Dalle Molle d'intelligence artificielle perceptive (IDIAP) de Martigny. Et évoque tout l'avantage que ce " petit " institut, dirigé par Hervé Bourlard, tire de son rôle de coordinateur du pôle de recherche national nommé Interactive Multimodal Information Management. Le quotidien précise également que l'IDIAP se trouve aujourd'hui " au centre d'une toile qui se rattache fortement à l'EPFL… ".

La molécule virtuelle née à l'EPFL du cerveau réel d'un jeune chimiste continue à faire parler d'elle : découvrez-là dans La Côte (1256207) et Le Matin (1253054).

La semaine passée (lire la revue de presse du 7 mars), Le Nouvelliste (1256652) évoquait la rencontre à venir réunissant trois jours durant à Loèche-les-Bains les cracs de la planète en matière de superordinateurs aux qualités tera et même petaflopiques. Aujourd'hui, Le Nouvelliste évoque la même rencontre qui vient de se terminer avec une différence de taille dans son illustration. Certes, il s'agit de la même photographie, mais cette fois le quotidien valaisan a trouvé la place de laisser apparaître deux personnages à droite de l'illustration, soit les organisateurs de ces journées qui sont Pierre Kuonen de la Haute école valaisanne et Ralf Gruber de l'EPFL.

Le Temps (1256419) publie un long dossier sur les chantiers universitaires en cours à Lausanne, Genève et Neuchâtel. Le quotidien décrit la lutte des " universités romandes pour leur indépendance. " Dans un éditorial (1256448) accompagnant le dossier, Nicolas Dufour estime que " les cantons ratent le virage académique ". Et le journaliste de s'indigner : " A l'heure où les hautes écoles doivent réformer leurs cursus, augmenter leurs collaborations, faire face à une concurrence féroce pour l'embauche de professeurs ainsi que développer une politique de la relève digne de ce nom, il n'est plus temps de verser dans les querelles de clocher cantonalistes. A ce titre, il est regrettable de constater que les révisions légales se déroulent en circuit fermé dans chaque canton au moment même où les hautes écoles de Genève, Lausanne et Neuchâtel annoncent vouloir se développer en commun. "

11 mars 2002

L'annonce, la semaine passée, de la création à l'EPFL d'une molécule virtuelle dans le but de comprendre comment améliorer l'imagerie médicale, continue à nourrir les gazettes. La Neue Luzerner Zeitung (1254111) publie la version Associated Press du communiqué, Die Botschaft (1254189), la version ats. En outre, nous avons reçu les articles déjà cités parus dans le Journal du Nord Vaudois (1254745), Le Courrier (1252447), L'Agefi (1254121), La Presse Riviera Chablais (1254886), La Liberté (1252668). A relever encore les deux lignes de l'IPD, pour Insider Presse Dienst (1254696).

L'Agefi fait fort pour son dernier épisode d'" EPFL en mutation ", série d'articles qui passent en revue les nouvelles facultés de l'école. Le quotidien économique évoque les deux grands boulevards de la Faculté des sciences de la vie, les neurosciences et l'ingénierie tissulaire, qui reposera sur l'étude des cellules souches adultes. Par rapport aux Universités de Genève et de Lausanne, la nouvelle faculté se veut complémentaire et non concurrente, explique Stefan Catsicas. " Notre but, précise le vice-président de l'EPFL, n'est pas de répéter ce qui se fait déjà dans les universités. Nous allons concentrer nos efforts sur l'émergence de nouvelles disciplines, aux interfaces entre les grands domaines classiques des sciences de base et des sciences de l'ingénieur. " Si vous avez aimé la série " EPFL en mutation ", vous pourrez la retrouver intégralement le 13 avril prochain sous la forme d'un tiré à part qui sera diffusé à l'occasion de la Magistrale de l'EPFL.

08 mars 2002

Il est beaucoup question d'architecture suisse dans la presse aujourd'hui. 24 Heures (1249736) annonce la sortie de presse du douzième tome d'Architecture & Construction. Les auteurs, précise le quotidien, ont " invité des représentants de l'EPFL à s'exprimer sur la gestion globale de notre patrimoine commun. Catherine Merz, architecte EPFL, Sylvain Malfroy, professeur d'histoire de la ville et de la pensée urbanistique, et Philippe Thalmann, professeur d'économie de l'environnement nature et construit, y parlent de développement durable. " Un concept " in ", comment le quotidien. Mais c'est toute l'architecture suisse qui est " in " en ce moment ! Pour s'en persuader, il faut lire Le Temps (1251807) qui rend compte d'un débat sur l'architecture helvétique organisé par France Culture dans l'un des bâtiments de l'ancienne Saline royale d'Arc-et-Senans. " Cet après-midi là, précise la journaliste, les quelques architectes suisses présents ont l'air plutôt terne. Assis en demi-cercle, chacun derrière un micro, leurs chemises, cravates et vestons se déclinent en brun, gris ou noir. Sans exception. (…) Voilà l'Helvétie telle qu'on l'imagine souvent : discrète, voire timide, préférant se tenir à l'arrière-plan plutôt que d'affirmer ses positions haut et fort. " Pourquoi l'architecture suisse revient-elle en force ? " Difficile de le dire ", avoue le professeur Jacques Lucan. Selon lui, " la spécificité des constructions suisses vient de leur caractère radical (…) et de leur forte présence physique. " Qu'en pensent les autres participants ? " La discussion saute du coq à l'âne, le débat peine à prendre son envol ", commente 24 Heures. Le quotidien ajoute pourtant : " Dans l'ensemble, les Suisses (Andrea Bassi, Patrick Devanthéry et Inès Lamunière, entre autres) donnent à la discussion un ton posé et réfléchi, très agréable… " A l'issue du débat, la directrice adjointe de France Culture, regrette toutefois que les participants aient eu " de la peine à débattre ".

De nombreux quotidiens évoquent la réalisation à l'EPFL d'un vieux rêve scientifique : l'intégration sur la même puce en silicium des circuits optiques et électroniques. Cette percée technologique a notamment intéressé la NZZ (1251857), qui publie la dépêche de l'ATS sur le sujet. Deux autres quotidiens alémaniques font de même, le Walliser Bote (1251952) et la Südostschweiz (1251992/ 138 709 exemplaires !) Les quotidiens romands reprennent pour la plupart le titre du communiqué de l'EPFL en le simplifiant : " Des télécommunications 1000 fois plus rapides ", annoncent ainsi 24 Heures (1251870) et le Courrier. La Liberté reprend ce titre, mais précise : " grâce à l'EPFL " ; Le Temps (1251322) inverse les termes pour annoncer que " L'EPFL crée une puce 100 à 1000 fois plus rapide. " Pour La Tribune de Genève, la puce de l'EPFL est tout simplement " ultrarapide ". Mais à cette vitesse là, le temps compte-t-il encore, paraissent s'interroger La Presse Riviera Chablais et La Presse Nord Vaudois qui titrent : " Le temps bientôt réduit à néant ? " Plus sobre, L'Agefi, toujours fidèle, explique en titre de deux longues colonnes, que " L'EPFL marie l'optique à l'électronique. "

07 mars 2002

" Le Petaflop désigne la capacité d'un superordinateur à gérer un million de milliards d'instructions par seconde ", explique le Nouvelliste (1248277). Le quotidien valaisan avec son confrère le Walliser Bote (1249846) évoquent la rencontre qui a réunit trois jours durant à Loèche-les-Bains les plus grands cracs de la planète en matière de superordinateurs. Ces réunions ont commencé il y a six ans sur l'initiative de scientifiques américains et suisses. L'EPFL y est évidemment représentée ainsi que l'Ecole d'ingénieurs du Valais (HEVs). Cette dernière a organisé la manifestation de cette année. La rencontre 2002 a un caractère charnière, explique Pierre Kuonen de la HEVs, car " l'on entre dans l'ère du biocomputing ". " Et, observe Le Nouvelliste, pour inaugurer cette nouvelle ère, il faudra des ordinateurs encore mille fois plus puissants que ceux de la génération des Cray ", soit du superordinateur qui avait fait la réputation de l'EPFL au milieu des années nonante.

C'est au tour de Lausanne Cité (1249856) d'annoncer la création par un chimiste de l'EPFL d'une molécule virtuelle dans le but de comprendre comment améliorer l'imagerie médicale. L'article se présente sous une forme assez synthétique.

06 mars 2002

" Chaque être humain a droit à une vie éternelle ", déclare au Blick le porte-parole de la secte Raël. Il fait allusion au clonage d'un homme souffrant d'un cancer qu'une équipe médicale de la secte s'apprête à effectuer dans un lieu secret de la planète. Cet acte médical soulève de nombreuses critiques d'ordre aussi bien éthiques que scientifiques. Mais Raël n'en a cure et se dit prêt à réaliser ce clonage sur un bateau navigant en eaux internationales. Mais pour quelle raison l'homme malade désire se faire cloner, demande le Blick " Il désire naître une seconde fois ", répond le porte-parole de la secte. Et pourtant, échapper au cercle des renaissances, c'est justement l'aspiration des adeptes de nombreuses religions orientales.

Le Tages-Anzeiger (1247769) consacre un long article à " Ada, l'espace intelligent " que les hautes écoles zurichoises, dont l'ETHZ, présenteront à expo.02. Le psychologue et chef de projet Paul Verschure explique comment fonctionne la chambre pensante : " Ada est un robot qui prend la forme d'une salle. Elle est un organisme artificiel qui réagit à son environnement et interagit avec lui. Elle est à même d'enregistrer des expériences, de les valoriser et aussi d'en apprendre quelque chose. " Le projet Robox de l'EPFL est brièvement cité dans cet article.

" Les sondages effectués par les Laboratoires Migros ont détecté des traces d'antibiotiques dans 20% des poissons d'élevage et quelque 8% de la viande de bœuf. Pour le porc, la moyenne annuelle est de 4 à 5%, avec des pics pouvant atteindre 30 à 40% ", annonce 24 Heures. Mais finalement, y a-t-il trop ou pas assez d'antibiotiques dans les aliments ? Les " résistances se développent particulièrement lorsque les bactéries sont soumises à de faibles doses d'antibiotiques, insuffisantes pour les détruire ", explique le professeur Michael Teuber, de l'Institut de recherche sur les denrées alimentaires. Par contre, en augmentant les doses, on pourrait proposer un ragoût de bœuf pour soigner une mauvaise toux

05 mars 2002

Les étudiants ne sont pas égaux en Suisse face aux taxes semestrielles. Au Tessin, le semestre d'étude coûte 2000 francs, précise la Berner Zeitung (1246181). C'est ce qui se fait de plus cher en Suisse. Même la très élitaire Haute Ecole de Saint-Gall fait payer nettement moins cher le semestre d'étude (807 francs). Les universités romandes sont les moins voraces, le semestre coûte 595 francs à Fribourg, 592 francs à l'EPFL, 560 francs à l'UNIL, contre 682 francs à Zurich et 607 francs à l'EPF de Zurich.

La présidence de l'EPFL " est globalement satisfaite " du message que le Conseil fédéral a transmis hier au Parlement concernant la révision partielle de la loi sur les EPF. " Il était très important pour l'autonomie des deux écoles que leurs présidents soient membres de plein droit au conseil des EPF ", relève la secrétaire générale Suzanne Killias interrogée par 24 Heures (annexe No 1245788). Un motif d'insatisfaction réside toutefois dans l'absence de tenure track pour les professeurs. Introduit l'an passé, pour les professeurs assistants, ce système leur garantit un poste au terme de leur assistanat. " Il est indispensable que la sécurité de l'emploi soit assurée pour les professeurs qui mènent des recherches à long terme ", explique Patrick Aebischer. Le président de l'EPFL regrette également le manque d'indépendance en ce qui concerne la rémunération des professeurs. Il estime qu'on devrait admettre " qu'il règne un véritable star system dans l'enseignement et la recherche ". " Aujourd'hui, estime-t-il, la Suisse n'est plus compétitive. " Tous les articles publiés sur le message du Conseil fédéral mettent en avant la plus grande autonomie dont bénéficieront les EPF. " Plus d'autonomie et des responsabilités accrues ", titre L'Agefi (1245746) qui reprend la dépêche de l'ATS. C'est aussi le sens de l'article paru dans la NZZ (1245622). Mais pour Le Temps (1245619), les nouvelles libertés que constituent par exemple la possibilité de " participer à la création de sociétés ", de " monnayer des contrats de licence ", de créer ou de supprimer des unités sans en référer à l'autorité supérieure, et le fait pour les présidents des deux écoles polytechniques de siéger au Conseil de tutelle des EPF ne forment qu'une " très prudente révision de la loi. " " Pourquoi conserver un Conseil des EPF ? " s'interroge d'ailleurs le quotidien. Le Temps se montre favorable à la proposition faite par Jacques Neirynck consistant à supprimer le Conseil actuel, à instituer des conseils d'administration pour chaque établissement et à " consacrer la relation de collaboration-concurrence des deux écoles en les rattachant directement au département de tutelle. A terme, cette option paraît la mieux à même d'alléger l'administration du domaine tout en conférant une marge de manœuvre suffisante aux écoles et aux instituts. " Le rapport sur les résultats de la consultation et les prises de positions se trouvent sur le site Internet du Secrétariat d`Etat à la science et à la recherche à l'adresse suivante: http://www.gwf-gsr.ch/franz/national/revision.htm Lire aussi La Liberté (1246448) et la Thurgauer Zeitung (1246593)

La simulation par ordinateur de molécules utilisées en imagerie médicale par un chimiste de l'EPFL continue à intéresser la presse. Si La Côte évoque brièvement la nouvelle (annexe No 1246160), Le Temps (1245624) consacre à la découverte de Fabrice Yerly un article éclairant et précis.

04 mars 2002

PME Magazine annonce dans sa dernière édition, photographie à l'appui, l'arrivée d'Yann Barrandon à Lausanne. " L'Université de Lausanne, le CHUV et l'EPFL ont engagé une grosse pointure ", précise le magazine (1241941).

Le Matin Dimanche (1243040) publie une interview de Michel Bonnefous, directeur exécutif du Team Alinghi. Ce dernier évoque la préparation journalière des navigateurs et l'ambiance à bord. Il précise que le Team Alinghi ne dépensera pas un sou pour espionner les coques des concurrents. A la fin de l'interview, l'hebdomadaire explique que le Défi suisse, c'est… " Alinghi, un nom imaginaire qui a porté chance à Ernesto Bertarelli (…), un soutien de l'EPFL qui teste différents types de matériaux dans son Laboratoire de technologies des composites et polymères….. ".

Genometrician's company est une société née l'an dernier de la rencontre entre un microbiologiste Claude-Alain Roten et un physicien diplômé de l'EPFL et informaticien Patrick Gamba. Les deux scientifiques, précise 24 Heures (1243261), ont voulu créer " un logiciel de génométrie qui révèle les règles d'architecture des chromosomes et qui soit à la porté de chacun, biologiste, médecin, chimiste ou physicien ; un logiciel qui ne nécessite pas le recours à un ordinateur de grande puissance mais puisse être utilisé avec un PC et don le coût ne soit pas prohibitif." Pari tenu, le Genometrician's Scooter est à la disposition du public pour quelques centaines de dollars.

La Liberté (1243668) félicite Nakis Karapatis, qui " a obtenu avec brio son diplôme de Docteur ès Sciences techniques à l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) le 25 février.

" Créée à Fribourg début 2001, MagiXys divise par dix le temps nécessaire pour effectuer des tests dans l'industrie des télécommunications ", relève PME Magazine (1242128). La société issue de Swisscom, développée par deux ingénieurs informaticiens de l'EPFL et qui a bénéficié d'un partenariat avec l'EPF de Zurich, a bouclé son premier exercice de manière foudroyante, réalisant un bénéfice net de 600 000 francs pour un capital social de 150 000 francs !

" L'EPFL réalise une première mondiale dans l'imagerie par résonance magnétique (IRM) ", titre L'Agefi, qui consacre quatre colonnes à la découverte du jeune chimiste Fabrice Yerly annoncée vendredi (annexe No 1243337). " L'efficacité de l'IRM pourra être améliorée grâce aux recherches de Fabrice Yerly, chimiste à l'EPFL. Son expérience consiste à simuler par ordinateur un agent de contraste, une molécule aux qualités magnétiques reconnues ", relève la dépêche de l'ATS publiée dans La Presse (1243807) et dans 24 Heures (1243445). Un bon début pour le communiqué publié vendredi par l'EPFL et repris le même jour à la radio.