Revues de presse

01 février 2002

En quête d'une alternative au clonage thérapeutique, des chercheurs américains annoncent " avoir créé des embryons de singe sans utiliser de sperme pour obtenir des cellules souches qui ont ensuite produit un cœur, un cerveau et d'autres tissus ", relève Le Temps. Cette première a été réalisée par la société qui avait annoncé en novembre le clonage d'un embryon humain, Advanced Cell Technology. Cette expérience sera présentée dans le prochain numéro de la revue Science, précise le quotidien.

30 janvier 2002

" Claude Nicollier privée d'espace ", annonçait Le Matin (annexe No 1192894) dans son édition de lundi, en titre d'une interview de l'astronaute vaudois. " Claude Nicollier pourrait être à jamais privé d'espace ", surenchérissait hier La Tribune de Genève (Annexe No 1194806) " Rien n'est perdu pour Claude Nicollier ", corrige aujourd'hui 24 Heures, citant également l'astronaute : " L'espace, ce n'est pas fini pour moi. " Toutefois, " s'il ne devait plus voler, Claude Nicollier pense se diriger à l'avenir vers l'enseignement, précise la Tribune de Genève : Il se voit jouer un rôle plus actif dans le futur Institut de technologie spatiale de l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne. " Ici, c'est Le Temps (No 1195923) qui apporte des précisions : " L'EPFL et l'Institut de microtechnique de l'Université de Neuchâtel (IMT) discutent actuellement de la création d'une chaire de technologie spatiale ", annonce le quotidien. Mais hier déjà, La Presse, Journal du Nord Vaudois (No 1196350) et Le Courrier de Genève (1196655) précisaient que Claude Nicollier sera le parrain du nouvel Institut. Et le quotidien de citer Stefan Catsicas : " Cette personnalité exceptionnelle va nous aider à penser l'institut sur un plan scientifique. "

Le BioWall enflamme les médias. La paroi bio-inspirée développée par l'équipe du professeur Daniel Mange a été présentée hier, en première mondiale, aux journalistes réunis à la Villa Reuge, à Sainte-Croix. Juste après la conférence de presse, le feu médiatique a pris sur les ondes des médias électroniques, de radio Framboise, à RTVL, en passant par la RSR, avec notamment l'interview de Daniel Mange par Patrick Ferla, et la TSR, où les couleurs du mur ont animé les différentes éditions du téléjournal. L'incendie se poursuit aujourd'hui dans la presse où il atteint d'abord les médias romands avec pourtant déjà un beau foyer dans la NZZ, qui consacre une demi-page, avec photo, à l'invention du Laboratoire de systèmes logiques. A noter qu'aucune accalmie médiatique n'est prévue pour l'instant. Si les quotidiens accordent une place privilégiée au BioWall, ils n'oublient pas de parler du lieu où il est exposé : la Villa Reuge, transformée en centre d'expositions et de rencontres culturelles à l'initiative de Jacqueline Reuge et d'Etienne Delessert. La première exposition de ce nouveau musée, consacrée à L'Objet vivant, formait une occasion idéale pour présenter le mur bio-inspiré mis au point par l'équipe du " Tournesol de l'EPFL ", comme 24 Heures se plaît à nommer Daniel Mange. Pour en savoir plus, vous avez le choix entre 24 Heures (une page, annexe No 1196612), La Presse Nord vaudois (une page, 1198884), La Liberté et Le Courrier (une page, la même, 1196660), la NZZ (une demi-page, annexe No 1196348), L'Express (1196436), Le Nouvelliste (1197563), Le Matin (1196204), Le Temps (1196418), L'Agefi (1196096), La Presse Riviera Chablais (1198442), La Tribune de Genève (1196149, le reportage de l'Illustré (1197944), La Côte (1198894) et le commentaire poétique du Temps du 31 janvier (1197625), Journal du Jura (1200906), March Höfe Zeitung (1201728). Découvrez en cliquant sur les liens ci-dessous:

Ce pourrait être le titre d'un film de science fiction ou celui d'une conférence donnée par un gourou révolté et bio-inspiré. Mais non, c'est le titre d'une enquête publiée par le mensuel économique Bilan. " Qui sont les vrais maîtres du monde ? ", lit-on sur la page de gauche. Sur celle de droite, on découvre une galerie de portraits photographiques, dont celle d'Ernesto Bertarelli, de Ruth Dreifuss et de Patrick Aebischer. Il faut lire l'enquête pour comprendre qu'il ne s'agit pas là des vrais maîtres du monde selon Bilan, mais d'un jury donnant son opinion sur le sujet. Selon le Président de l'EPFL : " L'opinion publique exerce un pouvoir prépondérant, mais coincé entre les médias et les politiciens qui la suivent. En Suisse, en particulier, le peuple a beaucoup de pouvoir, sans doute trop. Cela en est limitant. Dans les domaines qui mes sont chers, par exemple, comment les gens qui n'ont pas les connaissances requises peuvent-ils être appelés à se prononcer sur le génie génétique ou la procréation assistée ? " Finalement, déclare Patrick Aebischer, " ce sont peut-être les lobbies qui détiennent le plus de pouvoir. Les médias, l'opinion publique et le politique ne sont souvent que le bras de levier de leurs souhaits. " Gilles Marchand parle lui " d'une petite élite ", Ernesto Bertarelli cite " l'opinion publique ", Ruth Dreifuss estime qu'il " n'y a pas de pouvoir, mais des relations de pouvoir ", Ruth Metzler pense que chacun " devrait assumer sa part de responsabilité pour un développement pacifique et durable de notre planète. "

25 janvier 2002

La presse salue la venue à l'EPFL de Henry Markram, l'un des plus grands spécialistes des neurosciences dans le monde. " La faculté des sciences de la vie engage une star de niveau mondial ", souligne L'Agefi (annexe No 1190430). Le quotidien économique consacre un quart de page à la carrière du nouveau professeur ordinaire de l'EPFL, précisant que le " chercheur israélien a révolutionné la compréhension des microcircuits du cortex. " 24 Heures (No 1190243) parle d'un " éminent professeur au service du cerveau ", Le Temps (1190681), qui reprend la dépêche de l'ATS, et La Liberté (1191370) parlent de " sommité mondiale ". Les quatre quotidiens s'accordent à souligner que le choix en faveur de l'EPFL réalisé par le nouveau professeur " illustre la forte compétitivité internationale " de l'école.

L'Agefi présente sur quatre colonnes les deux produits que commercialise Omnisens, société issue il y a deux ans du laboratoire de métrologie de l'EPFL. La start-up offre en premier lieu des capteurs contrôlant l'environnement en continu et qui sont testés en ce moment au Japon. Omnisens commercialise un deuxième produit, "un système de mesure à fibre optique pour la mesure répartie de contraintes et de températures."

24 janvier 2002

Pas la moindre petite référence à l'EPFL dans les journaux romands du jour. De l'autre côté de la Sarine, le Bund sauve l'honneur en citant le "géographe de l'EPF Lausanne Martin Schuler" qui avait annoncé ces derniers jours, en commentant les résultats du dernier recensement de la population, que Berne pourrait perdre l'un de ses 29 sièges au Conseil national. Pas si sûr, rétorque le quotidien bernois, après avoir interrogé Hans-Urs Wili, chef de la section des droits politiques de la chancellerie fédérale.

23 janvier 2002

Plus de 350 personnes et 45 entreprises ont participé à BioData, le premier congrès destinés aux sociétés biotech de la région lémanique. Cette région commence d'ailleurs "à être reconnue au niveau international comme un pôle d'excellence de la biotechnologie", relève Le Temps. Le quotidien souligne que la présence autour du Léman "de Serono, première entreprise européenne du genre, entourée de plusieurs hautes écoles, dont l'EPFL, et d'une dizaine de sociétés de capital-risque a permis l'éclosion de nombreuses start-up." Ce marché particulier, au carrefour de la découverte scientifique et de la finance, manquait pourtant de visibilité, estime Le Temps. D'où le sens d'un congrès, dont le journal se fait l'échos.

La croissance démographique n'étant plus possible dans les centres urbains, ce sont dorénavant les périphéries qui voient leur population augmenter. On appelle ce phénomène la périurbanisation et c'est dans les zones rurales situées à une distance de 30 à 40 km des centres qu'il est le plus fort. Cet éparpillement de la population a pour conséquence d'augmenter le nombre des trajets pendulaires. " Si ce processus répond à l'objectif d'une croissance démographique équilibrée, il contredit le souhait de l'Office du développement territorial de concentrer la croissance dans les agglomérations et villes bien desservies par les transports publics ", rappelle, dans son analyse, Martin Schuler, chercheur à l'IREC, très en vue dans les médias aujourd'hui. Soit dans 24 Heures (annexe No 1186797), le Tages Anzeiger (1186697), la Basler Zeitung (1186550), le Bund (1186636) et la Berner Zeitung (1186522)

22 janvier 2002

Alors que BioData 2002 ouvre ses portes aujourd'hui à Genève, L'Agefi publie une interview de Francesco De Rubertis, Partner d'Index Ventures. Ce dernier observe un regain d'activité dans le secteur biotech : " Il existe cinq ou six poches biotech en Europe, la Suisse est l'une d'entre elles, et nous y sommes. Les activités biotech en Suisse se sont passablement accrues, pour plusieurs raisons : la nomination de Patrick Aebischer à la tête de l'EPFL est l'une des plus importantes. C'est vrai que nous sommes de plus en plus souvent à l'EPFL maintenant, parce qu'il y a du mouvement, du bruit, de l'excitation. "

21 janvier 2002

L'actualité plate de ce lundi nous donne l'occasion de revenir sur l'événement universitaire de la semaine passée: la publication par le Conseil d'Etat vaudois de son Rapport sur l'avenir de l'UNIL. Personne ne s'attendait à des prises de position fracassantes et il n'y en a pas eu. Le document est même particulièrement discret sur l'essentiel: "…le gouvernement se paie le luxe de produire un épais document de près de 100 pages auquel il manque l'essentiel: la définition de l'engagement financier chiffré", s'indigne 24 Heures (lire l'annexe No 1179124). Plus loin, le quotidien observe que: "Le Conseil d'Etat, en ne s'engageant pas de manière concrète sur le plan financier, ne perçoit pas qu'un soutien accru à l'UNIL est une question de survie à court terme et non une perspective à moyen ou long terme…". De fait, le Conseil d'Etat se contente d'évoquer dans son rapport sa volonté d'augmenter le budget de l'UNIL. Ses autres propositions le renforcement de la collaboration avec les autres universités et la réforme des structures de l'UNIL sont qualifiés de "tartes à la crème" par 24 Heures. "Du big bang cher à l'ancien recteur Pierre Ducrey, qui avait avorté très rapidement, au projet de quasi-fusion entre les Universités de Lausanne et Genève qui n'est plus d'actualité, on passe maintenant à la collaboration entre les milieux académiques vaudois et neuchâtelois. Il faut se pincer pour le croire: le choix de Neuchâtel tient surtout semble-t-il aux bonnes relations existant entre Francine Jeanprêtre et son homologue Thierry Béguin." Au moins, relève la dépêche de l'ATS publiée dans La Côte (annexe No 1181792) et la NZZ (1178861), le rapport donne-t-il une réponse à la volonté de fusion avec l'EPFL exprimée par le rectorat de l'Université: "Une telle opération, de l'ordre de 100 millions de francs, ne serait financièrement pas raisonnable et l'on ne peut pas s'engager dans un processus que l'EPFL ne veut pas", a précisé à la presse la présidente du gouvernement vaudois Francine Jeanprêtre. Le Temps décrit les différents enjeux du chantier universitaire romand (1179209), évoquant notamment la création d'une "Faculté romande de médecine et des sciences de la vie". Une idée évoquée dans le chapitre "réflexions" du rapport du Conseil d'Etat vaudois. "Une quasi-fusion des facultés romandes est impératives", titre plus généralement L'Agefi (1178875). Mais c'est L'Hebdo (1178993) qui saute le plus haut en s'interrogeant: "Et si on créait une université romande?" "Il faut la faire impérieusement", s'exclame Jacques Neirynck, l'ancien professeur à l'EPFL. Selon le président de l'EPFL Patrick Aebischer: "C'est complètement fou d'avoir par exemple deux centres hospitaliers universitaires à Lausanne et à Genève, qui coûtent près de 850 millions d'un côté et un milliard de l'autre, tous deux séparés par 60 kilomètres seulement. Il y a un effort de concentration à faire." Consultez le Rapport du Conseil d'Etat vaudois sur l'avenir de l'UNIL en tapant : www.dfj.vd.ch/accueil.html

14 janvier 2002

L'Agefi consacre le nouvel épisode de sa série " EPFL en mutation ", publiée tous les 2e lundi du mois, à la Faculté Informatique et Communications. " S'il y a des domaines pour lesquels la réorganisation complète de la structure de l'EPFL fait sens, c'est bien ceux de l'informatique et des télécommunications ", observe le quotidien de la finance. Selon lui, " la personnalité du nouveau doyen sera déterminante. " Et de préciser qu'un " comité devrait se réunir à la fin du mois pour procéder à un premier choix parmi les dossiers retenus lors de la mise au concours du poste. "

Aujourd'hui, la direction d'expo.02 se bat pour obtenir du Parlement fédéral une rallonge de 120 millions de francs. Dans une année, il ne restera plus de traces visibles des centaines de millions investis dans le projet national, puisque tout aura disparu ou presque et à grands frais. Parce que, comme la directrice générale d'expo.02 est venue le rappeler jeudi à l'EPFL, à l'occasion d'un séminaire organisé par la section d'architecture, une exposition nationale est une scénographie où tout est agencé pour disparaître. " A la manière d'un rite, explique 24 Heures, l'effacement lui est nécessaire et même consubstantiel. Elle doit disparaître pour pouvoir nourrir et féconder la mémoire et la conscience collectives. " Il faut donc se réjouir de ce qu'il ne reste rien de concret des millions investis, non pas que le Monolithe de Morat, haut lieu de pélerinage des visiteurs d'expo.02, ne serait pas digne d'attirer encore longtemps les fidèles de ce cube rouillé, mais parce que c'est son " caractère provisoire qui rend expo.02 possible et intéressante. " La journaliste souligne d'ailleurs que l'éphémère est en train de devenir " une composante incontournable de l'architecture contemporaine. Au point que la construction légère, temporaire ou éphémère fait l'objet d'un enseignement spécifique à la Faculté (comprenez section) d'architecture de l'EPFL. "

11 janvier 2002

La Côte se demande " comment à l'EPFL, on définit une nuit de félicité ". Mais le quotidien a beaucoup apprécié les vœux pour la nouvelle année de l'école qui lui a souhaité en quatre langue " une année de plénitude, quatre saisons de joie, douze mois sur une vague de bonheur et , oh joie, trois cents soixante cinq nuits de félicité. "

" Après quatre ans d'existence, les responsables du Cycle d'études postgrades en management de la technologie (MoT) tirent un bilan positif de leurs activités ", observe Le Temps. Le 100e diplôme a été décerné en décembre. La nouvelle volée compte 30 participants : " Un maximum, souligne Jean Micol, codirecteur du programme. Du fait que ce cycle exige une participation active de chacun, nous avons instauré une sorte de numerus clausus. "

10 janvier 2002

24 Heures annonce sur une page le séminaire qui s'est tenu aujourd'hui à l'EPFL. Organisé par la section d'architecture de l'EPFL, il a rassemblé des personnalités qui se sont interrogées sur le sens des constructions éphémères et sur le mot d'ordre d'expo.02 : " Tout doit disparaître ! " " Jusqu'ici les écoles d'architecture sont restées étrangement muettes au sujet d'expo.02, observe le quotidien. A quatre mois de l'ouverture de la 6e exposition nationale, l'Ecole polytechnique de Lausanne se réveille enfin… " La journaliste rappelle que la Tour Eiffel n'était pas prévue pour durer quand elle a été montée pour l'expo universelle de 1889. Le monolithe rouillé de Jean Nouvel qui plonge dans le lac de Morat survivra-t-il à la swiss-expo ? Qui est pour ? Vos réponses éventuelles et éphémères seront publiées dans la revue de presse.

09 janvier 2002

Plusieurs quotidiens publient une dépêche de l'ATS qui rend compte de l'évolution du nombre d'étudiants dans les hautes écoles et universités helvétiques. Le nombre des étudiants a progressé de quelque 3%, pour s'établir à 99 000. Il n'a pas explosé, malgré le doublement des maturités délivrées en 2001 dans les cantons de Berne et Zurich. L'EPFL a enregistré une hausse plus forte que la moyenne. " A l'EPFL, qui compte 5412 étudiants contre 5140 lors du semestre d'hiver 2000-2001, la hausse concerne notamment les départements de chimie - après l'intégration des structures de l'Université - des systèmes de communication et d'informatique ", précise l'ATS. A lire dans La Liberté en cliquant l'annexe ci-dessous !

" L'avenir des universités romandes - Faut-il les maintenir cantonales ou les remettre à la Confédération ? " C'est le thème du Forum interparlementaire romand (FIR) qui invite aujourd'hui à Lausanne Francine Jeanprêtre et son homologue neuchâtelois Thierry Béguin à s'exprimer dans le cadre d'une des séances d'information. Une soirée qui pourrait être instructive à quelques jours de la publication du rapport du Conseil d'Etat de Vaud sur l'avenir de l'UNIL.

Pierre Fazan, qui vient de mettre au point avec son équipe du Laboratoire d'électronique générale un concept permettant de réduire de moitié la taille des cellules de base d'une mémoire DRAM, fait aujourd'hui la Une de 24 Heures, après s'être exprimé hier aussi bien à la radio qu'à la télévision. Le quotidien lausannois parle de " percée spectaculaire à l'EPFL ", mais les autres journaux ne sont pas en reste et réservent également une bonne place à la découverte du professeur. Même le Blick en parle. L'Agefi la cite deux fois, en publiant in extenso le communiqué de l'EPFL et en s'y référant dans un article sur les nanotechnologies. " Chacun sait, écrit le quotidien économique, que le secteur des semi-conducteurs fonctionne selon la logique de l'intégration croissante des transistors sur une même surface. Certes, il y a des limites physiques à cette intégration. Toutefois, outre qu'elles sont régulièrement repoussées, il arrive aussi que des innovations, non plus seulement dans la fabrication des puces mais dans leur conception même, affectent cette logique. C'est apparemment le cas avec une découverte des chercheurs de l'EPFL, rendue publique hier, qui permettrait de supprimer les condensateurs dans un circuit et de dégager de la place pour doubler le nombre de transistors. " Cliquez sur les premières coupures de presse disponibles, soit dans l'ordre celle du Temps et de La Tribune de Genève. Suivent PME Magazine (1200596) et Bilan (1200957)

Les 22 et 23 janvier se tiendra, pour la première fois, à Genève, un symposium destiné à mettre en relation scientifiques, chercheurs en biotechnologies, entreprises et investisseurs. Ce salon biotech s'appelle BioData. Selon Le Temps, " le réseau scientifique et industriel de l'Arc lémanique, axé sur l'EPFL, les Universités de Genève et Lausanne, Serono et quelques petites sœurs déjà cotées en bourse comme Modex, s'affirme face aux pôles de Bâle et Zurich… "

08 janvier 2002

Le nombre d'étudiants a augmenté de 30% en dix ans dans le canton de Vaud, soit entre 1990 et 2000. C'est une hausse beaucoup plus forte que la moyenne nationale (12,5%). C'est moins que la progression enregistrée par l'EPFL (+35%), précise 24 Heures. Les trois hautes écoles ayant connu les plus fortes croissances en dix ans sont : l'Université de Fribourg (+40%), l'EPFL et l'UNIL (+34%).

Le CEST (Centre d'études de la science et de la technologie), placé sous l'autorité des départements fédéraux de l'Economie et de l'Intérieur, vient d'annoncer une nouvelle publication stimulante, qui peut être consultée en cliquant : http://www.cest.ch Elle traite de : La place scientifique suisse entre compétition et coopération 1994-1999. Une contribution à l'" Etat de la recherche suisse " et à la " Topographie de la place scientifique suisse "

07 janvier 2002

Les cellules Grätzel ont un potentiel de plusieurs centaines de milliards de francs, affirme Dimanche.ch. L'hebdomadaire estime que l'invention du professeur Michael Grätzel, brevetée en 1993 déjà, fera surtout " la fortune des fabricants étrangers ". Et de citer la société australienne Sustainable Technologies, " qui collabore avec le géant Du Pont et l'Académie chinoise des sciences ", l'Institut für Angewandte Photovoltaik à Gelsenkirchen et un " partenaire japonais qui a obtenu une licence ", dont l'hebdomadaire Cash assure " qu'il s'agit d'une filiale de Hitachi-Maxell ". " Bonne affaire pour l'EPFL qui engrange au total plus de 10 millions de francs ", précise Dimanche.ch.