Revues de presse

26 mars 2002

Le professeur Walter Wahli, directeur de l'Institut de biologie animale de la Faculté des sciences de l'Université de Lausanne et vice-recteur, a reçu l'une des plus prestigieuses distinctions scientifiques de Suisse : le Prix Otto-Naegeli pour la promotion de la recherche médicale. L'an prochain, précise 24 Heures (1274823), Walter Wahli " quittera sa fonction de vice-recteur pour prendre la direction du Centre de génomique prévu dans le cadre du projet Sciences-Vie-Société commun aux universités de Genève, Lausanne et de l'EPFL. "

Vous avez aimé danser au rythme du BioWall cet hiver : cliquez ci-dessous pour obtenir l'interprétation printanière qu'en donne la Zürichsee-Zeitung (1276401), sous le titre : " Un mur artificiel se clone lui-même. " Autre air à succès, mais plus récent et au titre un peu long, " Le magnétisme prometteur des chaînes d'atomes mis en évidence avec le concours de deux chercheurs de l'EPFL " peut être obtenu dans sa version 24 Heures en choisissant l'annexe 1274822. Enfin, cliquez le document No 1274855 pour lire l'article paru dans 24 Heures sur la Serpentine et résumé hier !

25 mars 2002

Cherchez le lien entre le " Giratoire abandonné " à Lucens, les " Aménagements sportifs " de Trélex, la " Halle bientôt démolie " à Aigle et le " Magnétisme prometteur " à l'EPFL : les trois titres introduisent les nouvelles publiées samedi dans la colonne " Régions en bref " de 24 Heures. C'est ainsi que la découverte, déjà plusieurs fois citée dans la presse, des qualités magnétiques de chaînes d'atomes unidimensionnelles créées à l'EPFL, est étrangement annoncée en page " La Côte " par le quotidien lausannois. Et si l'on introduisait une page " Arc lémanique " ?

Cliquez ci-dessous pour découvrir la version "live" de l'interview de Barbara Fournier qui explique pourquoi Polyrama a changé de peau. L'interview en trois questions était parue jeudi dans "L'Express" (1273276).

24 Heures revient sur le projet de la Serpentine et lui consacre une page. Une page pour annoncer notamment qu'un pas a été franchi. " Une estimation de la distribution des personnes sur les sites (de l'EPFL et de l'UNIL) et de leurs déplacements montre qu'une liaison est faisable, en termes de capacité et de débit. Nous avons ainsi donné mandat à la société Serpentine SA de faire une offre pour la première étape, soit le dépôt d'ici à deux mois d'un projet ", indique le professeur Marcel Jufer, vice-président de l'EPFL. " Il s'agit maintenant de définir précisément les besoins, la localisation d'un trajet prioritaire avec, à terme, des liaisons en direction de l'Uni, ainsi que le mode d'exploitation : à commencer par le nombre de capsules nécessaire, leur fréquence ", explique le responsable de l'unité des constructions et du patrimoine immobilier de l'EPFL, Sébastien Oesch.

Une journaliste du Matin (1273908) a fait un tour au salon Mednat, en s'intéressant plus particulièrement aux gadgets anti-électrosmog. Afin d'en savoir plus sur les effets bénéfiques des " pastilles de matériaux composites extrêmement complexes ", d'un " petit disque de laiton doré " et autre " pièce de métal enrobée de poussière de cristal de quartz ", elle a interrogé Dr Pierre Zweiacker, " ingénieur-chercheur à l'EPFL ", qui donne son avis sur une colonne. En une phrase : " De la poudre de perlimpinpin. "

Anthropologue à l'UNIL, Daniela Cerqui s'interroge dans L'Agefi (1274789) : les biochips et la volonté de contrôler le vivant qu'elles expriment, sont-elles le signe que nous évoluons vers l'ère du " post-humain ". Dans ce cas, ce grand frisson s'approche à grands pas. Selon Philippe Renaud, professeur à l'Institut de microsystèmes de l'EPFL, " les premiers prototypes de puces à ADN devraient voir le jour d'ici cinq ans et les premières applications dans une vingtaine d'années. Se pose, cela dit, le problème d'une technique d'analyse qui risque de progresser plus vite que les méthodes d'interprétation des gènes. "

22 mars 2002

L'Agefi publie un article qui n'apporte aucun élément nouveau sur Swissmetro, mais qui permet de faire le point sur l'avancement du projet. Le secrétaire général de Swissmetro SA Pierre Weiss et le directeur opérationnel Michele Mossi se montrent optimistes. " Pour eux, le fait positif est que deux conseillers fédéraux, Moritz Leuenberger et Pascal Couchepin, et leurs départements travaillent sur une aide importante, de l'ordre de huit à dix millions par an, rappelle le quotidien économique. Ce ne sera pas les 120 millions en cinq ans demandés par Jacques Neirynck, mais un appui décisif, un signal politique fort. "

" Nano-technologies : giga-gains ? " s'interroge Patrick Fournier, banquier chez Darier Hentsch Sion SA dans Le Nouvelliste. Le banquier a probablement lu L'Agefi d'hier qui évoquait la percée réalisée en physique des nanostructures par une équipe de chercheurs, dont deux de l'EPFL. Celle-ci avait démontré, après les avoirs créées, que les chaînes d'atomes unidimensionnelles conservaient des propriétés magnétiques pleines de promesses pour l'industrie liée au stockage de l'information. Le banquier précise pour sa part : " On construira des chaînes d'atomes de cobalt sur une surface de platine, à partir desquelles de nouvelles applications seront développées, puis mises sur le marché. " Selon lui, les nanostructures mobiliseront les investisseurs, leurs applications médicales potentielles étant " gigantesques, du domaine médical au domaine informatique, en passant par les matériaux. " Il conclut toutefois de manière tempérée en affirmant que " si les nanotechnologies pourraient générer quelques gigaprofits pour le rare investisseur avisé qui saura, ou aura la chance de, miser sur la bonne patente ou le bon produit, au bon moment, elles pourraient bien s'avérer un miroir aux alouettes pour la grande masse des autres investisseurs, au même titre que les fumeuses dotcom de la récente bulle spéculative Internet… "

Cliquez ci-dessous pour lire les dernières coupures de presse sur la nouvelle thérapie développée par l'EPFL qui remplacera la seringue par des implants. Soit dans l'ordre les articles du Botschaft (1271185), de La Presse Riviera Chablais (1270972) et de l'Express (1270562).

La recherche de l'équipe du Dr Patrick Höhener, qui a mis en évidence la menace que représente un additif de l'essence, le MTBE, pour les eaux souterraines, intéresse aujourd'hui le Tages-Anzeiger, qui lui consacre une trentaine de lignes (1272017).

Gian-Reto Plattner, vice-président du Conseil des Etats et vice-recteur de l'Université de Bâle fustige la politique menée par Ruth Dreifuss et Charles Kleiber. Il accuse la conseillère fédérale et le secrétaire d'Etat de favoriser l'arc lémanique et de dénigrer injustement l'Université bâloise. Dans une interpellation déposée le 4 mars, il exige des éclaircissements sur la stratégie supposée de Charles Kleiber, lequel, selon ses propos que rapportent L'Agefi (1271938), " nous demande à nous Bâlois et à toute la Suisse du Nord est de choisir entre Zurich ou l'arc lémanique. Nous ressentons bien, ajoute Gian-Reto Plattner, que la politique faite entre Ruth Dreifuss, Charles Kleiber et Patrick Aebischer (président de l'EPFL) favorise uniquement l'arc lémanique. Il y a avait un besoin de rattrapage tout à fait légitime pour donner la priorité à la Romandie, mais cela ne peut pas se poursuivre indéfiniment. " Et le conseiller d'Etat socialiste d'exiger des mesures pour éviter l'exclusion de la politique des hautes écoles de ce qui est la deuxième région économique de Suisse. De fait, Gian-Reto Plattner réagit aux propos tenus le 15 février par Ruth Dreifuss dans la Basler Zeitung et en janvier dans L'Hebdo par Charles Kleiber. La première déclarait : " Parmi toutes les hautes écoles, l'université de Bâle est la seule qui est à la peine et qui est plutôt sur le déclin que dans une phase ascendante. " Le second affirmait : " Il y a trois pôles principaux, trois régions universitaires. Le pôle zurichois, avec une intégration plus forte entre l'EPFZ et l'Université de Zurich, le pôle romand au sens large, donc pas seulement lémanique. Il comprend aussi le Valais et Neuchâtel. Et un pôle central avec Fribourg, Berne, Bâle. "

" Locataire ou propriétaire ? " : le livre publié par l'équipe du professeur Philippe Thalmann de l'EPFL aux PPUR rencontre toujours plus de succès. L'Agefi (1272487) consacre un article très fouillé à cette recherche sous le titre : " Les mythes de l'accession à la propriété en Suisse. " " Une maison reste un rêve partagé par beaucoup de personnes, mais les couples avec enfants aux revenus moyens ne peuvent pas se l'offrir ", observe pour sa part le Tages-Anzeiger (1271771).

Les trois membres de l'atelier Tribu'Architecture, tous anciens étudiants de l'EPFL, emporte la deuxième édition du Prix Lausanne Entreprendre. Ils toucheront ainsi 50 000 francs pour avoir développé un cédérom pédagogique de sensibilisation à l'environnement. Pour en savoir plus sur la Tribu, lisez le dernier Polyrama ! Syndic de Lausanne, également ancien de l'école, Daniel Brélaz a évoqué le possible élargissement du prix en dehors des frontières de la commune lausannoise, précise 24 Heures (1272024). " Le problème en cas d'élargissement, redoute le syndic, c'est que le site de l'EPFL fournira 80% des candidats. "

21 mars 2002

" L'EPFL s'associe à une importante percée dans le domaine de la physique des nanostructures ", annonce L'Agefi (1270159) en introduction à un article qui occupe la moitié de sa première page. Le quotidien économique romand rappelle en préambule que la renommée mondiale de l'école " dans le domaine nano n'est plus à faire ". Puis il annonce " une découverte, dont les résultats sont publiés aujourd'hui dans la célèbre revue Nature, qui ouvre des perspectives pour les technologies fondées sur le stockage d'informations. " A relever que le communiqué annonçant cette découverte a été repris par Swissup (www.swissup.ch ). Le St. Galler Tagblatt, immerhin 110 463 exemplaires, a traité la nouvelle plus brièvement (1270263) En cliquant l'adresse suivant, vous découvrirez également le communiqué que le célèbre Institut Max Planck publie sur la même recherche qui réunissait une équipe internationale de scientifiques, dont deux de l'EPFL. http://www.mpg.de/pri02/pri0218.htm

Dans l'Express, François Othenin-Girard saisit l'occasion de la sortie du nouveau Polyrama pour poser trois questions à sa rédactrice en chef. Barbara Fournier explique sa volonté de faire de Polyrama une revue qui " explore des sujets en profondeur, dans une réflexion qui se donne le temps d'aborder des thèmes sensibles à l'interface des sciences et de la société, avec le souci de garantir la pluralité des éclairages. " Une démarche, " en amont de l'actualité qui tient davantage de la revue que du magazine " et qui explique la mue graphique de Polyrama. Le Polyrama nouveau offre ainsi plus d'espace " pour faire chanter les images et palpiter les textes ". Mais pourquoi le thème de l'architecture ? Barbara explique avoir profité de la venue de l'architecture sur le campus d'Ecublens et de son intégration dans l'ENAC pour " interroger de front un domaine essentiel de notre culture avec lequel nous entretenons un rapport complexe où se mêlent étroitement indifférence et fascination. "

Le Conseil national a refusé hier d'autoriser le diagnostic préimplantatoire (DPI). " La gauche a fait bloc avec le PDC ", souligne La Liberté. Avec tout le PDC ? Non, le PDC, chrétien pratiquant et professeur à l'EPFL Jacques Neirynck considère plus éthique d'éviter, grâce au DPI, une grossesse dangereuse, que d'imposer des semaines d'angoisse à une femme jusqu'à ce qu'un diagnostic prénatal entraîne un éventuel avortement, explique le quotidien fribourgeois.

Le Conseil des Etats a débloqué hier 869 millions pour assurer la poursuite de la participation suisse aux programmes de recherche de l'Union européenne entre 2003 et 2006, annoncent les quotidiens du jour. Dès l'entrée en vigueur des accords bilatéraux, ou de l'accord bilatéral de coopération scientifique, la Suisse participera intégralement au programme-cadre de recherche européen et les scientifiques helvétiques seront placés sur un pied d'égalité avec leurs homologues européens. Le crédit d'engagement a été accepté par 28 voix sans opposition. Le Conseil national doit encore se prononcer.

Cliquez ci-dessous pour lire les dernières coupures de presse sur la nouvelle thérapie développée par l'EPFL qui remplacera la seringue par des implants. Soit dans l'ordre les articles du Journal du Nord Vaudois (1270392), de La Liberté (1269228), du Quotidien jurassien (1269952), de la Regional Zeitung (1269183).

20 mars 2002

24 Heures (1268586) et L'Agefi (1268452) rendent compte de la présentation hier dans les locaux du Parc scientifique d'Ecublens (PSE) des poulains de Genilem, société de conseils qui offre ses services aux start-up. " Alimentation, confiserie ou communication, Genilem affirme sa volonté de maintenir sa diversification ", relève 24 Heures.

La société Elca, dont le nouveau système de billetterie à domicile a été évoqué dans la presse en février, réapparaîtra le 1er avril dans le magazine bancaire Schweizer Bank (1268663). La revue rappelle que le système a été développé " en étroite collaboration " avec l'EPFL.

La presse salue la nouvelle thérapie développée par l'EPFL qui remplace la seringue par des implants. Au lieu de piquer, on implante une capsule contenant des cellules vivantes et sécrétant en continu des substances vitales pour le traitement de maladies comme l'anémie, l'hémophilie ou le diabète. Le communiqué publié hier par le Fonds national suisse de la recherche scientifique (lire sous www.snf.ch ) a immédiatement provoqué une avalanche de coups de fil à William Pralong, chargé de coordonner les essais cliniques, indique Le Matin (1268113). La thérapie en question pourrait bénéficier d'ici quelques années aux personnes atteintes de graves formes d'anémie ou d'insuffisance rénale. " Toutes les conditions sont remplies pour passer maintenant à l'étape des essais cliniques ", se réjouit Patrick Aebischer, dont, précise le communiqué, " le groupe, à l'Institut des neurosciences de l'EPFL, est à l'avant-garde mondiale de ce domaine. " " Après les tests, l'application clinique ", confirme 24 Heures (1268495). Comme Le Temps (1268145), le quotidien vaudois a choisi la version d'AP (associated press) du communiqué, alors que L'Agefi (1268389) et la NZZ (1268682) lui ont préféré la version ATS.

19 mars 2002

Le sperme des recrues volontaires devrait être analysé à l'aide d'un microscope dirigé par ordinateur et mis au point par l'Institut d'imagerie et d'optique appliquée de l'EPFL, annonce 24 Heures (1267100). La nouvelle est à mettre au conditionnel, car le conseiller fédéral Samuel Schmid a fait savoir qu'il refusait que les recrues fassent l'objet d'une étude scientifique. Responsable du projet et de l'Unité de médecine de la reproduction du CHUV, Dr Marc Germond est bien décidé à ne pas accepter cet "ukase" : " Samuel Schmid n'a rien compris. Je vais lui expliquer l'importance du projet en termes de santé public. "

18 mars 2002

A propos de Daniel Mange, sachez que les Polonais sont invités par l'un de leurs quotidiens à découvrir le BioWall, construit par l'équipe du directeur du Laboratoire de systèmes logiques, comme vous pouvez vous en rendre compte en cliquant : http://www.rzeczpospolita.pl/gazeta/wydanie_020202/nauka/nauka_a_2.html

Ci-dessous la demi-page que la Liberté a accordé à la recherche de l'équipe du Dr Patrick Höhener sur la menace que représente un additif de l'essence, le MTBE, pour les eaux souterraines.

" Locataire ou propriétaire ? " : le livre publié par l'équipe du professeur Philippe Thalmann de l'EPFL aux PPUR donne lieu à plusieurs articles dans la presse. Le Journal du Jura (1263476) parle de " L'exception suisse ", une exception qui devrait durer à moins d'une amélioration des conditions-cadre en faveur de la propriété par rapport à la location. " La prestigieuse NZZ (1264511), qui sort depuis hier une excellente édition dominicale, accorde aussi une large place au livre du professeur Thalmann.

La presse nous renvoie un bon écho des activités du PSE. " Les clés de dix ans de succès ", titre 24 Heures (1264822) pour évoquer la première décade d'activité du Parc scientifique d'Ecublens. Son directeur Jacques Laurent précise que sur les quelque 66 start-up basées sur le site, 12 d'entre elles peuvent être considérées comme de " beaux succès ". " En fait, ajoute 24 Heures, sur les 90 sociétés qui ont passé par le parc, seules trois sont tombées en faillite et six ont arrêté leur activité, ce qui est fort peu. "

Il existe une " infinité de mondes semblables et différents du nôtre " : cette opinion ne date pas d'aujourd'hui, puisqu'elle a été défendue par Epicure au troisième siècle av. J.-C. Elle est citée dans un livre récent qui fait l'état des lieux de l'exobiologie. " L'attention, précise Le Temps (1264829), se porte sur mars, sur Europe - lune de Jupiter - et sur les planètes extrasolaires. " Publié aux éditions du Pommier, " Sur les traces du vivant : de la terre aux étoiles " contient notamment une contribution du professeur Daniel Mange, souligne le quotidien.

15 mars 2002

Le communiqué annonçant que des chercheurs de l'école ont démontré un risque de pollution des eaux souterraines lié aux vapeurs de MTBE a été repris tel quel dans La Liberté. L'article, titré " Un additif de l'essence menace les nappes phréatiques ", porte la signature " EPFL ". Autrement, L'Agefi et Le Temps (1262699), ont repris la dépêche de l'ats, alors que la NZZ (1262797) lui a préféré la version rédigée par AP (Associated Press).

La percée réalisée par des chercheurs de l'EPFL, qui sont parvenus à intégrer sur la même puce en silicium des circuits optiques et électroniques, est relatée pour la première fois avec une nuance de scepticisme, dans Computerworld Schweiz (1262758). Le léger doute de l'auteur ne s'exprime que dans le style, aucun argument ne venant le justifier. L'essentiel de l'article repose d'ailleurs sur le communiqué de l'EPFL. La découverte qu'il annonçait a déjà rencontré un grand succès médiatique.

14 mars 2002

Le communiqué annonçant aujourd'hui que des chercheurs de l'EPFL ont démontré un risque de pollution des eaux souterraines lié aux vapeurs de MTBE a fait l'objet d'une dépêche ats. Celle-ci, traduite en allemand, peut déjà être consultée sur le site Internet du Tages-Anzeiger en cliquant : http://www.tages-anzeiger.ch/ta/taOnlineNewstickerArtikel?ArtId=61633&rubrikid=643 Ci-dessous, le lead de la dépêche : Forscher beweisen Verschmutzungspotenzial von Benzinzusatzstoff LAUSANNE - Ein Unfall, bei dem auch nur eine geringfügige Menge Benzin auf den Erdboden ausläuft, kann zur Verschmutzung des Grundwassers führen. Dies ist das Ergebnis eines Versuchs, den Forscher an der ETH-Lausanne durchgeführt haben.

13 mars 2002

Est-ce un conte, une fable ou une méchante légende pour se moquer des fonctionnaires vaudois ? Non, c'est un fait réel que raconte Jacques Neirynck dans les colonnes du Temps (1257951). Cette histoire fantastique montre que la Suisse, et particulièrement l'EPFL, attire les jeunes cerveaux jusqu'en Chine, mais aussi que des efforts administratifs devraient être faits si l'on entend accueillir les meilleurs scientifiques de la planète et éviter le ridicule.

La molécule virtuelle née à l'EPFL se montre parfaitement bilingue et s'exprime aujourd'hui dans le St.Galler Tagblatt (1258540), quotidien qui tire à 110463 exemplaires !

12 mars 2002

L'Agefi (1256881) consacre un article à l'Institut Dalle Molle d'intelligence artificielle perceptive (IDIAP) de Martigny. Et évoque tout l'avantage que ce " petit " institut, dirigé par Hervé Bourlard, tire de son rôle de coordinateur du pôle de recherche national nommé Interactive Multimodal Information Management. Le quotidien précise également que l'IDIAP se trouve aujourd'hui " au centre d'une toile qui se rattache fortement à l'EPFL… ".

La molécule virtuelle née à l'EPFL du cerveau réel d'un jeune chimiste continue à faire parler d'elle : découvrez-là dans La Côte (1256207) et Le Matin (1253054).

La semaine passée (lire la revue de presse du 7 mars), Le Nouvelliste (1256652) évoquait la rencontre à venir réunissant trois jours durant à Loèche-les-Bains les cracs de la planète en matière de superordinateurs aux qualités tera et même petaflopiques. Aujourd'hui, Le Nouvelliste évoque la même rencontre qui vient de se terminer avec une différence de taille dans son illustration. Certes, il s'agit de la même photographie, mais cette fois le quotidien valaisan a trouvé la place de laisser apparaître deux personnages à droite de l'illustration, soit les organisateurs de ces journées qui sont Pierre Kuonen de la Haute école valaisanne et Ralf Gruber de l'EPFL.

Le Temps (1256419) publie un long dossier sur les chantiers universitaires en cours à Lausanne, Genève et Neuchâtel. Le quotidien décrit la lutte des " universités romandes pour leur indépendance. " Dans un éditorial (1256448) accompagnant le dossier, Nicolas Dufour estime que " les cantons ratent le virage académique ". Et le journaliste de s'indigner : " A l'heure où les hautes écoles doivent réformer leurs cursus, augmenter leurs collaborations, faire face à une concurrence féroce pour l'embauche de professeurs ainsi que développer une politique de la relève digne de ce nom, il n'est plus temps de verser dans les querelles de clocher cantonalistes. A ce titre, il est regrettable de constater que les révisions légales se déroulent en circuit fermé dans chaque canton au moment même où les hautes écoles de Genève, Lausanne et Neuchâtel annoncent vouloir se développer en commun. "