Revues de presse

10 décembre 2003

Le Courrier présente la vie et l'œuvre de Fernand Pouillon, architecte exposée à l'ENAC jusqu'au 19 décembre, puis du 5 au 21 janvier. Fernand Pouillon, qui effectua un séjour en pison à la suite de d'une faillite frauduleuse, considérait les ensembles plus nécessaires que les chefs d'œuvre isolés et "voulait une architecture à la fois sobre et noble, fonctionnelle et originale".

Electrotechnik et CHemie plus relatent le succès des cellules solaires de Graetzl qui ont réussi l'épreuve du feu" en supportant, avec une perte de 6% seulement, une température de 80 degrés durant six semaines environ.

La Gruyère retrace l'historique des avions solaires, sans pilote, qui ont précédé le projet Solar Impulse. Brian Jones, pressenti pour participer à ce projet, serait lui-même, selon le quotidien, le directeur opérationnel d'une mission durant laquelle sera prochainement testé un avion solaire de petite envergure (12m.). L'avion en question serait destiné à atteindre l'altitude de 40 km. d'altitude, une altitude à laquelle seuls les fusées et les navettes sont parvenues jusqu'à présent.

08 décembre 2003

Trente et un étudiants en science et ingénierie de l'environnement à l'EPFL ont étudié quatre semaines durant le Pays-d'Enhaut. Ils ont particulièrement observé le rôle extrêmement positif joué par l'agriculture pour "assurer la pérennité de l'économie en montagne et préserver ses paysages", précis Terre & Nature. Ils proposent, dans le cas des très célèbres alpages du fond de L'Etivaz, "de rénover le téléphérique de Sazième et de tracer un meilleur chemin."

L'Agefi s'enthousiasme pour le "premier oiseau artificiel" qu'entend faire voler Piccard. Le quotidien se montre si euphorique, qu'il fait de l'EPFL non seulement le concurrent direct de la NASA, mais aussi le futur réalisateur du premier avion solaire. Alors que, faut-il le répéter, l'Ecole ne sera que conseillère scientifique officielle du projet.

05 décembre 2003

(24 Heures, Le Courrier, Le Temps, Tribune de Genève, Basler Zeitung, Berner Zeitung, Neue Zürcher Zeitung) Cette fois-ci c'est décidé. D'ici 2005, les Universités suisses devront avoir transposé les règles de la déclaration de Bologne dans leurs programmes. La Conférence universitaire suisse (CUS), qui regroupait hier des conseillers d'Etat et des responsables fédéraux sous la houlette du ministre bernois Mario Annoni et du secrétaire d'Etat Charles Kleiber a voté ses "directives" sur les futurs titres de bachelor et master. Spécificité du bachelor, qui ne sera pas l'équivalent d'une demi-licence, "permettre d'entrer dans le monde du travail. Quant aux taxes universitaires, "elles doivent être les mêmes…ce qui ne veut pas dire qu'elles n'augmenteront pas", selon les propos de Nivardo Ischi, secrétaire général de la CUS. Les étudiants, qui ont manifesté dans plusieurs villes du pays, ont protesté contre les risques de perpétuer la formation d'une élite avec ce nouveau système et celui de "marchandisation de la formation", qui, à leur avis, pourrait déboucher sur des coûts d'études plus élevées, sur le modèle anglo-saxon.

Bertrand Piccard est interviewé, dans l'Illustré, sur son nouveau projet en collaboration avec L'EPFL. Le psychiatre, futur aventurier solaire, considère que "le développement durable est une démarche multidisciplinaire dans laquelle l'intégrisme n'a pas sa place" et qu'il "faut informer à grande échelle", en réponse aux esprits chagrins prétendant que le développement durable n'a que faire d'un show. Les trois facultés de l'Ecole qui seront particulièrement sollicités sont présentés. "Viser un poids minimal pour un rendement maximal", "fabriquer une peau solaire en polymères" ou encore "développer une symbiose parfaite entre l'homme et son avion", tels sont les objectifs principaux visés par les scientifiques dans cette aventure scientifique et humaine.

(Wall Street Journal Europe) Yann Benoît, doctorant à l'Ibois vient, en collaboration avec Concept Bois Technologie S.A., de remporter le "European Innovation Award 2003" dans les domaines de l'énergie et de l'environnement. La méthode mise au point, le "concept réseau", permet d'étendre l'analyse de poteaux électriques effectuée de l'intérieur, généralement sur quelques poteaux, au réseau global. Cette analyse s'effectue grâce au Polux, machine mise au point par le professeur Jean-Luc Sandoz. L'objectif visé par cette nouvelle technique permet d'éviter les pannes l'électricité provoquées par la chute d'un poteau, entraînant ses voisins avec lui.

Jan-Anders Manson, coordinateur scientifique du projet Solar Impulse, l'avion solaire du futur, était également chargé de coordiner Alinghi. L'Hebdo dresse son portrait.

(La Gruyère, La Liberté) Les étudiants de 4ème année en Sciences et ingénierie de l'environnement ont passé quelques semaines au Pays-d'Enhaut pour évaluer la situation dans plusieurs domaines. Découvrez leurs analyses.

04 décembre 2003

(L'AGEFI : fichier non disponible sous forme électronique) Dans le cadre du symposium organisé, les 3 et 4 décembre, sur les impacts environnementaux de la société de l'information, l'EPFL a organisé un point-presse hier. Parmi ces impacts de la société de l'information, "boulimique de ressources énergétiques", Suren Erkman, directeur de l'Institut pour la communication et l'analyse des sciences et des technologies de Genève cite par exemple une accélération de la consommation de papier depuis les années 70. Yves Loerincik, assistant doctorant à l'Ecole, ajoute " Si l'e-commerce permet de réduire les émissions au niveau des déplacements, du stockage, il augmente considérablement les transport aérien et la consommation d'emballages..". Les retombées sur l'environnement de la société de l'information, un sujet dont on risque sans doute d'entendre encore parler ces prochaines années

(24 Heures, Le Temps :fichiers électroniques non disponibles) Matthias Finger, responsable de la chaire sur le management des industries de réseau (MIR) à l'EPFL, Annelies Garcia, de l'Ecole et Christophe Genoud, directeur de Mirconsulting, ont livré les résultats d'une enquête menée auprès des plus importants distributeurs romands d'électricité lors d'une conférence de presse organisée hier à l'Ecole. Selon leurs résultats, "le secteur semble se préparer à une mutation", qui irait dans le sens d'une libéralisation ; "… libéralisation qui devrait pousser à des regroupements entre distributeurs". En effet, d'après l'étude, "les communes et les cantons ne vendront probablement pas leurs opérateurs".

(L'Hebdo: fichier électonique non disponible) La palme d'or des European Innovation Awards 2003 en technologies a été remise à Claudio Lucchesi, directeur d'Abmi S.A. Le dispositif primé "permet de contrôler les flux sanguins dans le cerveau et d'y repérer les particules solides susceptibles de bloquer les artères". Le logiciel, achevé et vendu, a été mis au point dans le cadre d'un projet triangulaire initié par les universités et hôpitaux de Genève et Lausanne et l'EPFL.

02 décembre 2003

Voyage avec le soleil : trois articles sur le défi de Bertrand Piccard nous sont encore parvenus aujourd'hui. De fait, la Südostschweiz (2599800), le Walliser Bote (2599359) et La Côte (2600021) publient les dépêches de l'ATS ou de AP.

L'Agefi, Le Temps et 24 Heures font tous la même constatation : dans son projet de loi, le Canton de Vaud affirme son intention de donner davantage d'autonomie à l'Université. Le Temps résume le projet en parlant d'une "université plus libre dans ses choix, donc, et plus centralisée". La mesure la plus spectaculaire envisagée est la suppression du Sénat, remplacé par un Conseil de l'université. 24 Heures donne, graphique à l'appui, une image précise des différents changements proposés. Le Temps éclaire son propos d'un commentaire sur le "grand écart académique" auxquelles les universités, "écartelées entre leurs autorités locales et leurs périmètres qui s'élargissent", sont invitées. Les trois médias évoquent également l'amélioration des conditions de travail du corps intermédiaire.

01 décembre 2003

Le projet d'avion solaire de Bertrand Piccard a déjà fait le tour du monde de la presse. A l'étranger, le projet auquel s'est associé l'EPFL en tant que conseillère scientifique officielle, a été longuement évoqué dans le Sunday Times. Il a également fait l'objet de dépêches de l'agence Reuters et de DPA. L'impact est certainement important hors des frontières, même si nous manquons encore de "retours", donc de repères pour l'évaluer. En Suisse, la nouvelle, après avoir été annoncée dans les télévisions et radios des trois langues nationales, a fait l'objet d'articles dans tous les journaux, ou presque. En Suisse allemande, c'est la NZZ (2595950) et, à sa manière, le Blick (2596490) qui ont accordé le plus d'importance au défi de Bertrand Piccard. Les autres grands journaux alémaniques, à l'exemple de la Neue Luzerner Zeitung (2596541) ont repris des dépêches d'agence, à l'exception du Tages-Anzeiger (2596233). Ce quotidien émet l'unique critique, ou plutôt "inquiétude" face au projet, se demandant si au-delà du vertige que procurent la participation aux défis d'Alinghi ou d'avion solaire, la recherche à l'EPFL ne souffre pas quand il s'agit de s'attaquer à des questions "dont la complexité se laisse moins facilement vendre au public". C'est finalement tout le reste de la presse, mieux documentée, qui lui répond, en relevant l'effet fantastiquement stimulant du défi de Bertrand Piccard sur de nombreuses recherches déjà menées à l'EPFL et qui aboutiront à des applications intéressantes. Les quotidiens romands, particulièrement, se sont fort intéressés à l'aspect scientifique du défi, envoyant parfois plusieurs journalistes à la conférence de presse pour rédiger de véritables petits dossiers. Les défis technologiques sont ainsi présentés en long et en large dans Le Matin (2596632), 24 Heures (2596796, 2596802, 2596810, 2596747), La Tribune de Genève, qui a également profité de l'occasion pour interviewer plus généralement le Chef du Service des relations industrielles de l'EPFL Gabriel Clerc (2596751), Le Temps (2596333) ou La Liberté (2598867). Pour une interview de Bertrand Piccard, lire Le Matin Dimanche (2598872).

Le délégué romand d'Avenir Suisse, Xavier Comtesse, vient de publier aux éditions genevoises du Tricorne, un ouvrage intitulé "Sur la route du savoir" réunissant ses "meilleures" chroniques de presse. Ce livre est préfacé notamment par le Président de l'EPFL Patrick Aebischer. Avenir Suisse, précise Le Temps, est un "laboratoire d'idées financé par les grandes entreprises pour favoriser le renouvellement technologique et économique du pays."

Le Bâlois Gian-Reto Plattner quitte la Coupole fédérale après s'être engagé douze ans en tant que parlementaire en faveur de la formation supérieure et de la recherche. La Basler Zeitung (2596247) et Le Temps (2598809) en profitent pour redonner la parole au vice-recteur de l'Université de Bâle. Celui-ci défend la création d'un Conseil des hautes écoles "qui regroupe les universités, les EPF et les hautes écoles spécialisées".

Ancienne physicienne à l'EPFL, Marie-Christine Sawley dirige depuis début juillet le Centre suisse de calcul scientifique (CSCS), à Manno près de Lugano. Dans une interview accordée à L'Agefi, elle explique le rôle de cet Institut qui dépend administrativement de l'EPFZ, mais s'adresse à l'ensemble de la communauté académique suisse ainsi qu'à l'économie privée.

26 novembre 2003

(Le Temps (fichier non disponible), Tages Anzeiger) En 2002, les femmes ont obtenu près de la moitié des licences et diplômes décernés par les universités suisses. Une belle augmentation depuis 10 ans puisqu'elles obtenaient 37% de licences et diplômes en 1993. Selon le même rapport émanant de l'Office fédéral de la statistique, les femmes, majoritaires en sciences humaines et sociales, restent encore frileuses en sciences et techniques avec 22% de diplômées. En Suisse romande, le taux de diplômées atteint même 51% en 2002, très exactement 11% de plus qu'en Suisse allemande.

(Le Temps, 24 Heures, L'AGEFI, Le Matin) Selon le communiqué de presse, diffusé hier, "L'Ecole Cantonale d'Art de Lausanne (L'ECAL) et l'EPFL ont signé hier une déclaration d'intention visant à partager leurs compétences sur des projets de formation et de recherche". L'occasion, pourquoi pas, d'embellir encore le design des ordinateurs que Jan-Anders Manson, interrogé par 24 Heures trouve "moches ! Le professeur, spécialiste des matériaux dans notre Ecole, ne souhaiterait pas, pour l'instant, les mettre dans sa cuisine ou son salon….mais pense que "d'ici à dix ans, ils seront probablement mieux intégrés dans des objets ou des contextes quotidiens". Concernant l'ECAL, elle pourrait déménager à Renens. Réponse du Conseil d'Etat dans quelques jours.

25 novembre 2003

A la suite de la Télévision suisse romande hier soir, Le Matin et 24 Heures parlent d'une nouvelle aventure pour Bertrand Piccard et pour l'EPFL. Les deux journaux spéculent sur la nature même du défi, émettant quelques hypothèses. Le défi, rappellent-ils, sera révélé vendredi lors d'une conférence commune donnée par Bertrand Piccard et l'EPFL.

24 novembre 2003

Si personne ne remet en question le principe de l'autonomie des hautes écoles, celui-ci est interprété de manière différente depuis que les pressions financières et la concurrence sont plus présentes. La NZZ analyse l'autonomie des hautes écoles à la lumière d'un symposium récent. Selon le quotidien zurichois, la science semble de plus en plus comprise "comme partie d'une chaîne d'innovation", pour reprendre l'expression du secrétaire d'Etat allemand Wolf-Michael Catenhusen. L'autonomie des hautes écoles inclut la responsabilité de mettre en liaison science et économie. La NZZ rend également compte dans l'édition du jour de la Journée annuelle de l'EPF de Zurich. La gazette zurichoise retient notamment que l'anglais gagne du terrain comme langue d'enseignement.

21 novembre 2003

(NZZ ; L'Express) Le Conseil Fédéral a mis en vigueur au 1er janvier la nouvelle loi et les ordonnances régissant les EPF. Les Ecoles polytechniques de Lausanne et de Zurich bénéficieront de davantage d'autonomie.

(24 Heures)Pour ses 10 ans d'existence, Fréquence Banane a concocté, pour la semaine prochaine, un programme varié à Satellite. De plus, la radio a décidé d'émettre hors des murs de l'UNIL et de l'EPFL. Dès décembre, on pourra écouter cette radio sur le câble lausannois.

(GHI Genève home Informations) Visualiser l'état du trafic à Genève en temps réel : voici le fruit d'une collaboration de deux ans entre l'Office des transports et de la circulation (OTC) et l'Ecole. Pour éviter les bouchons dans cette région, il suffit désormais de taper : www.geneve.ch/infomobilite

(24 Heures) Dès 2004, la postformation sera réorganisée à l'EPFL et les différentes formations de ce type devraient s'autofinancer, soit grâce aux dons de sponsors, soit en augmentant les finances d'inscription. Pour Patrick Aebischer, qui "voit la pression financière arriver…", "…il y a des regroupements de cours et d'autres choses à faire…". Dans la majorité des écoles, les programmes de postformation sont autofinancés ou rapportent du profit. Et "il faudra voir au cas par cas …", toujours d'après le président de l'EPFL, si le scénario de l'autofinancement ne fonctionne pas.

(L'AGEFI) L'avènement de l'énergie solaire pour demain ? Pourquoi pas… La photosynthèse artificielle pourrait ouvrir un champ de recherche prometteur et faire tomber les problèmes de prix, de place, de rendement photovoltaïque et de stockage d'énergie. Michael Graetzel, professeur au Laboratoire photonique et interfaces de l'Ecole, a donné, en début de semaine, une conférence sur le sujet, organisée par la Société vaudoise des sciences naturelles.

20 novembre 2003

(24 Heures) N'enseigner plus qu'en anglais dans les hautes écoles en Suisse et en Europe ? C'était l'une des questions posées hier lors d'une table ronde publique à l'Université de Lausanne. Patrick Aebischer est d'avis qu'à l'EPFL, la presque totalité des cours de master et de doctorat devrait être donnée en anglais, langue scientifique par excellence. Pour Georges Lüdi, professeur de linguistique française à l'Uni. de Bâle, les universités doivent former des diplômés qui puissent pratiquer la langue de leur pays d'accueil.

19 novembre 2003

(Neue Zürcher Zeitung) La Suisse manque de dynamisme économique. En 1989 notamment, notre pays était, au monde, celui qui investissait le plus, par habitant, dans la formation et la recherche. Entre-temps, le Japon et la Suède, entre autres, ont rattrapé notre douce Helvétie sur ces plans et aussi sur le plan des résultats à l'enquête PISA. Pour changer le cours des choses, Joseph Deiss compte sur l'argent qui va être injecté, ces quatre prochaines années, dans le système de formation et de recherche. En outre, celui-ci souhaite une plus grande participation de la part des étudiants quant au financement de leurs études.

(24 Heures) L'Auditoire, le journal des étudiants de l'UNIL et de l'EPFL, "a mal à ses finances" et cherche des moyens pour ne pas devoir continuer à puiser dans les recettes de la Fédération des associations d'étudiants (FAE). Ouvrir ses pages aux pubs pour la fumée et l'alcool constituerait l'une des alternatives destinées à combler les déficits : proposée mais pas acceptée.

18 novembre 2003

Des physiciens de l'EPFL sont parvenus à modeler des particules de taille infime en les soumettant à des émissions de lumière de différentes couleurs. 24 Heures rend compte de cette découverte suite à la publication du communiqué de presse de l'EPFL.

Encore au gymnase, Marc Vuffray et François Sahi ont créé un programme d'enseignement de la physique par ordinateur. Aujourd'hui étudiants à l'EPFL, ils ont pu présenter leur logiciel cet automne lors d'un festival d'enseignement scientifique aux Pays-Bas, le renommé Physics on Stage 2003. Plus dans 24 Heures.

17 novembre 2003

Au contraire des hippies, les scientifiques et les investisseurs dans les nouvelles technologies croient encore au rêve californien. Ce qu'illustre l'inauguration vendredi de Swissnex, une annexe consulaire scientifique helvétique à San Francisco. 24 Heures et Le Temps mettent en avant le rôle joué par l'EPFL et Christian Simm dans ce projet. "Seule Haute Ecole helvétique financièrement impliquée dans le projet, l'EPFL emploiera une personne pour trouver des stages à ses étudiants", précise le quotidien lausannois. La NZZ met en avant la promotion économique du "Grand Zurich" (six cantons) qui loueront une partie du bâtiment qui abrite Swissnex.