Revues de presse

10 mars 2004

Des chercheurs de l’EPFL développent un instrument qui permettrait aux diabétiques de mesurer leur taux de glucose plusieurs fois par jour et sans douleur, rappelle la NZZ. Chef du projet, le professeur Peter Ryser estime qu’il faudra encore trois à quatre ans pour mettre au point cet implant détecteur de glucose.

L’association de soutien aux jeunes entrepreneurs Genilem a présenté hier dans les murs du Parc scientifique d’Ecublens quatre sociétés naissantes qu’elle accompagnera. Parmi elles, deux sont issues de l’EPFL : Fiveco, spécialisée dans l’ingénierie en recherche et développement, et Illion Security, active dans la prévention du piratage informatique.

09 mars 2004

(Pas d'annexe) Plus de 60'000 chercheurs français ont signé, début janvier, une pétition exigeant des crédits et l’augmentation du nombre de postes de travail. Plusieurs centaines de chefs de laboratoires menacent de démissionner ce mardi s’ils n’obtiennent pas satisfaction. Ils démissionneraient de leur fonction administrative, mais conserveraient leur fonction scientifique, précise Le Temps. Les scientifiques se plaignent notamment de la baisse des crédits de fonctionnement, de la suppression de 550 postes de titulaire et de la fuite des cerveaux qui s’en suit. L’un de ces cerveaux, Yann Barrandon, professeur à l’EPFL, a confié ce matin sur les ondes de la Radio suisse romande être venu en Suisse en raison de la situation en France. Il a en même temps considéré que la politique suisse en matière de recherche constituait un bon compromis entre les excès administratifs français et le modèle américain. Le correspondant du Temps à Paris se montre très critique envers le gouvernement français : Celui-ci, écrit-il, « semble avoir adopté définitivement la tactique qu’il utilise depuis bientôt trois ans : assurer les acteurs d’un conflit de sa compréhension et de sa volonté de dialogue tout en s’employant à les discréditer. »

Les acteurs politiques ont été nombreux ces dernières semaines à prendre très clairement position pour ou contre une hausse des taxes universitaires. Mais qu’en pense le président du Conseil des Ecoles polytechniques Francis Waldvogel ? 24 Heures lui pose plusieurs fois la question dans une interview. Francis Waldvogel ne donne pas de réponse précise, mais précise le contexte dans lequel la question se pose. De sa « lecture quotidienne du grand livre de la vie », le Président du CEPF a retiré que le savoir et la connaissance ne sont plus considérés comme des biens avant tout culturels, mais sont devenus aussi des biens économiques, « qui augmentent la compétitivité individuelle sur le marché ». Plus loin, il s’interroge : « Est-ce que ceux qui vont bénéficier de ce savoir étendu et coûteux, intéressant sur le marché du travail, ne devraient pas participer, certes de façon modeste, à financer son acquisition ? » Concrètement, Francis Waldvogel précise que les taxes subiront dans un premier temps « une augmentation très légère, pour rattraper la hausse du coût de la vie ». « Et dans une deuxième étape, ajoute-t-il, un groupe de travail devra étudier la possibilité d’une augmentation plus importante. Je dis bien, souligne le Président du CEPF, étudier. » Il s’avance ensuite jusqu’à donner un exemple : « En doublant les taxes pour les EPFs, par exemple, on obtiendrait entre 15 et 16 millions. » Francis Waldvogel précise cependant qu’il ne trouverait pas correct « qu’on ne réinjecte pas l’argent ainsi gagné dans le système de formation, de manière proche des étudiants. » Une hausse des taxes ne devraient ainsi pas servir à « sauver le système universitaire dans l’impasse ».

(Pas d’annexe) A l’EPFL, comme partout en Suisse, des dizaines de milliers de femmes sont allées travailler hier rouges de colère contre les discriminations dont elles sont victimes. Concernant le monde universitaire, 24 Heures rappelle les résultats d’une étude interne récente réalisée à l’UNIL : « Durant l’année académique 2002-2003 (…), l’Université de Lausanne (UNIL) a mené 19 procédures de nominations pour de nouveaux professeurs. Sur 297 candidatures, on comptait 46 candidates (15%). Mais aucune n’a été choisie. » Ce constat a été rappelé hier sur le campus lausannois, lors des manifestations symboliques organisées pour la Journée internationale de la femme. Toutes les femmes ne se sont toutefois pas senties appelées. Ainsi l’éditorialiste de La Gruyère, Florence Luy, confie avoir mis un pull blanc. « Je n’avais pas de raison d’être en colère contre mes collègues masculins, précise-t-elle, je ne me suis pas levée avec le sentiment d’être victime d’une société injuste et je n’ai même pas eu à insulter un chauffard macho en me rendant à mon travail. »

08 mars 2004

(Pas d’annexe) A l’occasion du cinquantenaire de la mort du grand bâtisseur lausannois Alphonse Laverrière, 24 Heures consacre une page à son œuvre. Le quotidien s’est entretenu avec Pierre Frey, le conservateur des Archives de la construction moderne à l’EPFL. Evoquant le style de Laverrière, Pierre Frey estime qu’on « y décèle la patte d’un architecte qui ose et d’un homme doué d’une culture beaux-arts. » Dimanche, la SonntagsZeitung a publié tout un cahier sur l’architecture contemporaine. L’hebdomadaire alémanique y consacre vingt lignes au travail des architectes romands Patrick Devanthéry et Inès Lamunière. Il compare leur style à celui des montres Patek Philippe : „Hülle, Möblierung und Materialisierung werden auf fast barocke Art miteinander in Beziehung gesetzt.“

Le journal alémanique « Trienger Anzeiger » évoque sur une page les travaux de Touradj Ebrahimi concernant la connexion entre cerveau et ordinateur. Le professeur à l’Institut de traitement des signaux de l’EPFL relève que les personnes handicapées pourraient un jour profiter de ces recherches.

05 mars 2004

L’Institute für Jungenunternehmen (IFG), à Saint-Gall et dirigé par Beat Shilling vient de remporter l’appel d’offres lancé par la Confédération pour organiser l’offre de formation en entrepreneurship au niveau national. L’Institut coordonnera donc le programme national de formation des jeunes et des futurs créateurs d’entreprise et travaillera en collaboration avec ceux qui, on pense notamment à Create Switzerland, ont déjà une expérience établie sur le terrain.

A l’Université de Neuchâtel, la Société suisse de physique a réuni, pour la premières fois, trois pôles nationaux de recherche en physique, dont un, Quantum Photonics, est dirigé par le Professeur EPFL, Mar Ilegems. L’occasion pour les chercheurs de faire le point sur leur action au sein de cinq programmes : les oxydes complexes et autres matériaux émergents qui influeront sur l’évolution des technologies électroniques, l’interaction des systèmes électrons de petite dimension, les propriétés électroniques des supraconducteurs à haute température, les structures meso et nanoscopiques, les applications industrielles des matériaux supraconducteurs. Des avancées technologiques et scientifiques qui n’empêcheront pas tous les physiciens du monde, l’an prochain, de prendre un peu de temps pour faire la fête, puisqu’ils célèbreront le centième anniversaire d’une publication sur la lumière qui allait révolutionner la physique moderne, signée d’un ancien cancre, un certain Albert Einstein

Une rencontre informelle – première prise de contact - entre le président désigné du Conseil des Ecoles, Alexandre Zehnder, et une délégation de l’APC, s’est déroulée sous le signe de l’ouverture et de la cordialité. Pour le 1er janvier 2005, le futur président a exigé la mise en place d’un nouveau système salarial tenant compte des prestations dans l’ensemble du domaine des EPFL..

Du 8 au 26 mars, ne manquez pas de vous arrêter au container posé devant le Bâtiment SG. Véritable malle aux trésors, il contient les meilleurs travaux des étudiants des quatre écoles d’architecture universitaires de Suisse. Le thème est l’expérimentation avec le matériau créé par Eternit SA. A ne pas manquer !

A l’occasion de la sortie du livre, « Fo(u)r cities : Milan, Paris, Londres, New York », paru aux Presses polytechniques Universitaires Romandes, Inès Lamunière répond à une longue interview dans 24 Heures (pas de fichier) sur le thème de la ville contemporaine en mutation. Elle explique comment du théâtre urbain à une vision éclatée, notre manière de vivre la ville a évolué. Plaidant pour une densification de l’espace urbain, l’architecte précise que ce mouvement peut-être perçu, non comme un cauchemar ou un rêve tragique, mais comme la chance de retisser un lien social entre des fragments de ville qui jusqu’ici s’ignoraient ou demeuraient ignorés. Un des exemples de cette réappropriation, c’est la vallée du Flon à Lausanne. D’autres espaces en friches sont en attente d’être « recousus » à un tissu urbain réconciliant ses espaces de vie et ses temporalités. (Pas de fichier)

04 mars 2004

C’est la proposition faite par les TL à l ‘UNIL et l’EPFL pour éviter l’asphyxie aux heures de pointe matinales, mais d’autres solutions sont d’ores et déjà envisagées, parmi elles, l’augmentation très légère de la fréquence qui pourrait se faire avec le matériau existant, valoriser davantage la gare M1 de REnens en incitant les étudiants qui habitent hors de Lausanne de débarquer de préférence à Renens. A plus long terme, le group de travail TL va évaluer la possibilité d’acheter des véhicules supplémentaires et le doublement des voies du M1 sur certains tronçons, aujourd’hui en voie simple. Ce qui demandera du temps et de l’argent. Du côté des hautes écoles, on attend d’en savoir plus pour évaluer la faisabilité du décalage des horaires de cours du matin des étudiants de l’UNIL et de l’EPFL. (pas de fichier)

L’ordinateur quantique, avec sa puissance de calcul presque infinie, fait rêver, même si les premières réalisations en laboratoire demeurent encore très modestes. Jean-Jacques Daetwyler revient sur le symposium qui se déroule actuellement à l’EPFL et qui réunit quelques-uns des plus grands chercheurs de la physique quantique, grâce au financement de la Fondation Latsis. « Cette conférence, souligne Benoìt Deveaud-Plédran, directeur de l’institut de photonique et de l’électronique de l’EPFL, est la première à réunir des représentants des deux grandes voies où la physique quantique offre des perspectives d’application : l’ordinateur et les communications.

03 mars 2004

REPETITION DE LA NOUVELLE DE MARDI, MAIS AVEC ANNEXE! Fondé en 2000, le Biopôle d’Epalinges a vu grand, projetant de créer jusqu’à 1800 emplois en dix ans. Pour l’heure, ses locaux n’accueillent que cinq start-up. Son taux de remplissage, d’environ 60%, pourrait tomber cette année à 50%. Il faut dire, relève 24 Heures, que le Parc scientifique de l’EPFL (PSE) offre de meilleures conditions. Mais n’imaginez aucun esprit de concurrence entre les deux « pépinières ». Les deux parcs sont complémentaires. Le directeur du PSE Jacques Laurent précise : « Notre vocation d’accueil de start-up généraliste et non pas seulement vouée aux biotechnologies. » Mais le mot de la fin revient à Philippe Sordet. Se référant à « l’axe » Biopôle-CHUV-UNIL-EPFL, le président du Biopôle d’Epalinges souligne : « L’ensemble fait partie d’un tout. »

02 mars 2004

(Pas d’annexe) Fondé en 2000, le Biopôle d’Epalinges a vu grand, projetant de créer jusqu’à 1800 emplois en dix ans. Pour l’heure, ses locaux n’accueillent que cinq start-up. Son taux de remplissage, d’environ 60%, pourrait tomber cette année à 50%. Il faut dire, relève 24 Heures, que le Parc scientifique de l’EPFL (PSE) offre de meilleures conditions. Mais n’imaginez aucun esprit de concurrence entre les deux « pépinières ». Les deux parcs sont complémentaires. Le directeur du PSE Jacques Laurent précise : « Notre vocation d’accueil de start-up généraliste et non pas seulement vouée aux biotechnologies. » Mais le mot de la fin revient à Philippe Sordet. Se référant à « l’axe » Biopôle-CHUV-UNIL-EPFL, le président du Biopôle d’Epalinges souligne : « L’ensemble fait partie d’un tout. »

Dès jeudi, les professeurs et les cadres de l’EPFL se réuniront deux jours durant à Chamonix pour les « Journées scientifiques et pédagogiques ». Pour une fois, ils ne passeront pas leur retraite annuelle dans une station helvétique. Pour la bonne et simple raison que personne ne veut d’eux. « Les stations contactées, précise Le Temps, refusent l’hébergement, préférant manifestement accueillir des skieurs durant toute la semaine plutôt que des ingénieurs pour deux nuits. »

(Pas d’annexe) Selon le Boston Globe, l’Université de Harvard s’apprête à investir 100 millions de dollars dans la création d’un centre de recherche sur les cellules souches. Cette décision intervient en dépit de la volonté présidentielle de limiter le financement fédéral de la recherche sur les cellules souches embryonnaires. « Harvard est une université privée, explique L’Agefi. Elle dispose d’une fortune de 22 milliards de dollars. Elle ne doit donc de compte qu’à ses administrateurs. Comme ceux-ci n’y voient pas de problèmes éthiques, elle peut aller jusqu’à créer une banque de lignées de cellules souches dérivées d’embryons surnuméraires (lié à la fécondation in vitro) donnés par les parents biologiques quoiqu’en pense Washington. »

En compagnie du professeur à la haute Ecole de gestion de Genève, le professeur à l’EPFL Philippe Thalmann signe une longue prise de position dans Le Temps. Les deux académiciens expliquent les cinq raisons pour lesquelles la taxe CO2 est préférable au centime climatique que proposent l’Union pétrolière et la Fédération routière suisse. Les professeurs soulignent toutefois que, si l’on s’en tenait à des considérations strictement financières, il faudrait renoncer à l’une et à l’autre.

(Pas d’annexe) Le Symposium 2004 de la Fondation Latsis, qui se déroule jusqu’à demain à l’EPFL, ne passe pas inaperçu. 24 Heures a consacré près d’une page à cette manifestation qui a pour thème : « Application de l’optique quantique aux communications et aux ordinateurs. » « Cette conférence, précise le directeur de l’Institut de photonique et d’électronique de l’EPFL Benoît Deveaud-Plédran, est la première à réunir des représentants des deux grandes voies où la physique quantique offre des perspectives d’applications. » « Un système de cryptage inviolable est-il possible ? Des ordinateurs seront-ils un jour capables d’effectuer en parallèle des millions d’opérations, faisant littéralement exploser la vitesse de calcul ? » Les scientifiques répondent affirmativement aux deux questions. Avec cette nuance que pour le deuxième point, précise 24 Heures, il s’agit encore d’une musique d’avenir, même s’il existe « quelques réalisations à un stade embryonnaire ».

01 mars 2004

24 Heures nous invite à suivre le parcours futur du M2 depuis le Flon. Cette découverte des difficultés techniques du premier métro au monde à franchir 375 mètres de dénivellation vous intéressera-t-elle? Pas sûr! "J'ai l'impression que ce que l'on célébrait autrefois comme de "grands travaux" s'est aujourd'hui banalisé", observe Sylvain Malfroy, professeur d'histoire de la ville à l'EPFL.

Les personnes qui souhaitent commencer des études de médecine dans les Universités de Bâle, Berne, Fribourg ou Zurich seront à nouveau soumis à un test d'aptitude. La Conférence universitaire suisse entend ainsi limiter l'accès en fonction du nombre de places disponibles, explique 24 Heures.

27 février 2004

CT Sciences, sur le point de s’installer au Parc scientifique (24 Heures) et Medipol, née des entrailles de l’EPFL en 2003 (L’Agefi) démontrent que l’histoire d’amour entre le canton de Vaud et les biotechnologies ne cesse de grandir. CT Sciences développe des médicaments anticancéraux qui devraient être révolutionnaires, Medipol des polymères pour l’encapsulation de principes actifs comme de cellules entières.

Suspense pour les étudiants genevois. Inaugureront-ils la réforme de Bologne à la rentrée d’octobre. ? Deux projets de loi ont été déposés, la législation cantonale devant être modifiée. Au cœur du débat, plusieurs éléments d’organisation mais aussi un thème d’ordre formel qui souligne une vraie bataille de fond : la guerre des titres « bachelor » et «master » et la crainte de former un système à deux vitesses. Du pain sur la planche pour les députés genevois.

26 février 2004

Uni-Bâle : : des critiques acides contre des mesures d’économie en chimie Beaucoup de crispation à Bâle autour de la proposition formulée par le Conseil de l’université de fermer le domaine d’analytique du département de chimie. En 2002 déjà, la haute école avait imposé 30% d’économie sur les chaires de chimie. Pour la deuxième fois, donc, en peu de temps, ce département-phare se voit sévèrement touché. Rolf Soiron, président du Conseil de l’université explique qu’au terme d’une évaluation qui a duré deux ans, il est ressorti de l’étude que la chimie analytique avait peu à faire, formellement et pratiquement, avec le reste du département ». Une approche sévèrement contestée par de nombreux professeurs qui soulignent la perte inestimable que représenterait la disparition d’une branche dont le professeur-phare, Michael Oehme, est reconnu mondialement et qui est considéré comme un « véritable coryphée à l’intersection de l’université, des autorités politques, du monde industriel et des organisations de protection de l’environnement. »

25 février 2004

La secousse sismique d’avant-hier soir a pris les Suisses par surprise. Les réactions, diverses, oscillaient entre le manque de ressenti et la peur. Pierino Lestuzzi, spécialiste en construction parasismique et chargé de cours à l’EFPL, relativise le risque de destruction de bâiments en raison de la relative faiblesse du séisme. Pour le scientifique, toutefois, le tremblement de terre a valeur d’avertissement , « Avant 1970, les normes de construction n’incluaient pas les séismes. Et ce n’est que depuis 2003 que la sécurité est optimale ».

24 février 2004

L’évêque de Sion Norbert Brunner et l’abbé de Saint-Maurice d’Agaune Joseph Roduit citent le Polyrama dans leur prise de position contre l’utilisation des cellules souches embryonnaires comme objets de recherche. Ils se fondent sur les propos du professeur Barrandon pour observer dans Le Nouvelliste « qu’il n’est pas nécessaire de manipuler des cellules embryonnaires et que des cellules souches adultes sont encore plus sûres.

Edelweiss, l’élégant magazine féminin, présente le dernier roman très horrifique de Michael Crichton, inspiré notamment des recherches en nanotechnologie effectuées à l’EPFL. « Avec ce thriller scientifique (« La Proie » en français) à hérisser les cheveux, le néophyte a même l’impression d’y comprendre quelque chose », s’émerveille Edelweiss.

« Les cellules Graetzel de l’EPFL partent à la conquête de l’Ouest » : L’Agefi résume ainsi tous les espoirs que la société Konarka fondent sur les cellules développées par le professeur à l’EPFL Michael Graetzel. « La technologie est suffisamment mûre pour entrer en phase industrielle », précise le quotidien économique.

La commission de la science du National demande au gouvernement d’augmenter de 40 millions les crédits destinés à assurer la participation suisse aux programmes de recherche de l’Union européenne jusqu’en 2006. Cette rallonge doit permettre de résoudre les problèmes de financement apparus en raison des retards pris dans la ratification de l’accord bilatéral sur la recherche avec l’UE, précise L’Agefi.

23 février 2004

Le Temps raconte les mésaventures informatiques du professeur à l’EPFL Touradj Ebrahimi. L’éditeur de « l’Optical Engineering Journal » ne recevait pas les articles qu’il attendait. L’antispam de l’EPFL censurait en effet les messages de sa collaboratrice aux Etats-Unis. L’adresse e-mail de cette dernière – pam.andersen@… rappelait trop la « sulfureuse actrice américaine Pamela Anderson » dont le nom est souvent usurpé par les vendeurs de sites pornographiques.

Le premier cours de Claude Nicollier à l’EPFL fait salle comble, annonce l’ats, confirmant l’article publié la semaine passée dans 24 Heures. 141 étudiants se sont inscrits à son cours.

L’inauguration, le 11 mars prochain à Genève, de la plateforme de génomique donne l’occasion à La Tribune de Genève de tracer un panorama de toutes les initiatives liées au programme Sciences Vie Société.

20 février 2004

Un cours-atelier spécialement dédié aux jeunes filles sur le thème d‘Internet s’est déroulé à l’Ecole de novembre 2003 à mars 2004. Il a été financé par une petite partie du budget du programme de recherche suisse en système d’information et de communication mobile. Samedi dernier, le professeur Martin Vetterli, directeur du programme de recherche, a remis les attestations aux quarante participantes Au vu du succès, l’atelier, qui reprendra dès le mois de mars, sera dédoublé.