Revues de presse

08 mars 2006

N'en déplaise à Voltaire, le XXIe siècle est celui des lumières, comme en témoigne cet article paru dans "Le Nouvelliste" sur la pollution lumineuse. Le quotidien rend compte de la démarche originale d'un ancien de l'EPFL, Arnaud Zufferey, diplômé en informatique et auteur d'un travail de master en environnement. Selon le journal, le scientifique y brosse le portrait d'une société "boulimique de lumière", gaspillant l'énergie, en particulier en ce qui concerne l'éclairage public. Son travail est centré sur le Valais, mais peut être étendu à l'ensemble de la Suisse. De son propre chef, Arnaud Zufferey a rédigé une ordonnance "prête à l'emploi" qu'il espère voir adopter par les autorités valaisannes.

07 mars 2006

Quelques mois après ses confrères romands, le quotidien genevois "Le Temps" consacre un article à la société Emitall. Ce spin-off installé à Montreux a été fondé par le professeur Touradj Ebrahimi, du Laboratoire de traitement des signaux, et par deux spécialistes du monde des affaires. Ses logiciels de sécurité sont utilisés dans des applications de vidéosurveillance tout en préservant la sphère privée des passants. Ainsi que le souligne le journal, l'EPFL s'est fait un nom dans ce domaine, comme le prouvent ses deux autres spin-off: Visiowave et Fastcom.

Il ne suffit pas de créer sa société pour réussir, encore faut-il arriver à produire. Dans "Le Temps", deux articles rendent compte de la dure vie des start-up, lesquelles sont souvent obligées de céder des licences sur leur invention et cessent parfois même leur activité. Pour Jean-Marc Wismer, coach au Parc scientifique d'Ecublens, il s'agit d'un "phénomène particulièrement marqué en Suisse, contrairement aux Etats-Unis, en France ou en Israël". Dominique Foray, directeur du Collège de management de la technologie, pense pour sa part que certaines sociétés manquent de réels objectifs commerciaux et n'arrivent ainsi pas à grandir. Quand elles ne manquent tout simplement pas d'une infrastructure de production adéquate, à l'image de la société Techpowder, un spin-off de l'EPFL.

Une brève parue dans "24 Heures" annonce la remise du Prix Erna Hamburger à la professeure britannique Julia Higgins. L'événement aura lieu le 13 mars à l'EPFL, à 17h. Le rendez-vous est pris.

"Le Nouvelliste" de lundi annonce le lancement d'un picosatellite EPFL, du format "Cubsat", pour 2008. L'opération naîtra de la collaboration entre le Laboratoire des microsystèmes pour les technologies spatiales et du Space Center, et sera l'oeuvre d'étudiants de l'Ecole. Ainsi que le souligne dans l'article le professeur Herbert Shea, quelque quatorze laboratoires seront amenés à participer à cette ambitieuse aventure. Ce sujet avait déjà fait l'objet d'un article dans "L'Hebdo" le 26 janvier.

Les médias ont beaucoup parlé de la pollution de l'air ces dernières semaines, en pointant du doigt le trafic automobile. Une étude menée dans les vallées alpines par l'Institut Paul Scherrer, en collaboration avec l'EPFZ, montre que les chaudières à bois rejettent même davantage de particules fines que les véhicules circulant sur l'autoroute. A lire dans le "Journal du Jura".

06 mars 2006

Vendredi dernier, un échafaudage s'est effondré à Fribourg, tuant une jeune fille de 17 ans. Selon la police, la force du vent ne serait pas forcément à l'origine de cet accident. Un expert indépendant de l'EPFL a notamment été mandaté afin d'analyser la situation. "Le Matin" et "La Liberté" rendent compte de l'événement.

A l'approche de la votation du 21 mai sur une nouvelle Constitution sur la formation, la presse multiplie les articles concernant le "paysage des hautes écoles suisses". Mais au lieu de montagnes et de lacs, le paysage en question ressemble davantage à une jungle. Dans son édition du 3 mars, "Domaine public" présente une fois encore le projet qui devrait permettre à la Confédération et aux cantons de mieux collaborer.

"EspacesTemps.net" s'intéresse au phénomène urbain des grafittis. Son auteur Eduardo Camacho-Hübner est urbaniste et il collabore au Laboratoire de systèmes d'information géographique. Il s'interroge sur la signification, parfois mystérieuse, de ces tags, inspiré par des inscriptions vues à l'entrée du TSOL de la station EPFL. Message caché, codé derrière quelques chiffres, forme d'amitié?

03 mars 2006

Le biodiesel fait son arrivée en Valais. Moins cher, moins polluant, ce carburant qui sent bon les énergies renouvelables intéresserait déjà les grandes sociétés, annonce le "Nouvelliste" de ce jour. Mais les avis divergent encore sur les qualités écologiques de ce carburant à base d'huile de colza. Alors que certains affirment que la combustion de l'huile retourne alimenter la photosynthèse du colza (donc retour à la terre), d'autres tels que l'OFEFP sont plus sceptiques. Mais peut-être plus pour longtemps, puisque l'institution est en train de revoir sa copie. Une copie qu'avait d'ailleurs déjà critiquée le Laboratoire des systèmes énergétiques, à l'EPFL, en 2002

L'EPFZ réagit aux critiques émises par l'industrie suisse des  machines, des équipements électriques et des métaux (revue de presse de jeudi). Dans le "Tages Anzeiger" de ce vendredi, le porte-parole de l'Ecole déclare que les ingénieurs sortant de l'institution n'ont aucun problème à trouver un emploi (94%), un fait prouvant que la formation proposée répond bel et bien aux besoins du marché. Mais surtout, lance le responsable, il faudrait déjà que Swissmem apprenne à comprendre les EPF.

02 mars 2006

A l'occasion de l'ouverture du Salon de l'auto, à Genève, la Radio Suisse romande a voulu en savoir plus sur les avantages des voitures hybrides, les "grandes vedettes" de cette édition. Elle a donc interrogé le professeur Daniel Favrat, du Laboratoire d'énergétique industrielle. Selon lui, comme ils s'appuient sur le principe énergétiquement sain de la récupération de l'énergie de freinage, les véhicules hybrides parallèles sont bien là pour se développer et rester . Par contre, il a émis des doutes sur le fait que les autos à hydrogène puissent jouer un rôle significatif dans les deux prochaines décennies. Le professeur s'est également exprimé jeudi soir sur la TSR1.

Physique, chimie et maths sont boudées par les étudiants. Ce désamour touche Les Etats-Unis, l'Europe et même des pays asiatiques. Il guette aussi la Suisse. C'est "Le Temps" de ce jeudi qui s'inquiète de cette nouvelle tendance. Pour l'heure, notre pays a de la chance: 27% des diplômés ont opté pour les sciences naturelles et techniques. Il n'y a pourtant pas de quoi pavoiser, met en garde le quotidien, car si les effectifs des universités augmentent fortement, la proportion de jeunes qui choisissent les sciences progresse faiblement (autour de 3%). En cause: le peu d'intérêt des jeunes filles, l'explosion du secteur tertiaire ou encore les programmes de la maturité, dont la dernière réforme est entrée en vigueur en 1998, et l'image de la science dans la société.

En Suisse, chaque année, quelque 2600 étudiants décrochent leur diplôme d'ingénieur. En Chine, ils sont 950'000. Cette époustouflante différence ne se situerait pas seulement au niveau quantitatif, mais aussi qualitatif. Ce constat, rapporté par le "Tages Anzeiger" de jeudi, est fait par l'industrie suisse des machines, des équipements électriques et des métaux. Swissmem estime que notre pays a un grand besoin de rattrapage en matière de transfert du savoir et de technologie, regrettant, au passage que les EPF ne recherchent que "renommée et prestige".

Zurich a désormais aussi son "Learning Center". Hier, en effet, l'EPFZ et l'Uni de Zurich ont inauguré un centre en sciences de la vie pour les échanges entre les chercheurs et le public. Baptisé le "Life Science Zurich – Learning Center", il se donne l'ambitieuse mission d'extraire la recherche de ses murs. D'en faire un instrument de travail accessible aux plus jeunes. Ainsi, le monde souvent méconnu des sciences de la vie sera ouvert à des écoliers ou de futurs enseignants. A lire dans "Le Temps", la "Basler Zeitung" ou encore dans "l'agefi".

"Le Temps" de ce jour dresse le portrait de Ceramaret, une entreprise fabriquant des petites pièces de précision et qui emploie plus de 100 personnes près de Neuchâtel. Elle enchaîne les exercices record et pour poursuivre son développement dans les céramiques techniques, elle entend doubler sa surface de production. En Suisse, les sociétés actives dans ce secteur se comptent sur les doigts d'une main. Heinrich Hofmann, du Laboratoire de technologie des poudres, a été sollicité pour s'exprimer sur l'utilisation de la céramique technique, un matériau avec une résistance mécanique très élevée.

01 mars 2006

ProRenova, l'Association suisse pour la rénovation des constructions, organise dans le cadre du salon Habitat-Jardin, à Lausanne, un séminaire sur la sécurité lors de la transformation des bâtiments. Pierino Lestuzzi, du Laboratoire d'informatique et de mécanique appliquée à la construction, sera de la partie pour expliquer comment se prémunir contre les secousses sismiques. Et un autre membre de l'EPFL, le professeur Claude-Alain Roulet, du Laboratoire d'énergie solaire et physique du bâtiment, sera présent, lui, pour présenter les mesures de prévention contre les méfaits du radon. A lire dans "24 heures" de ce mercredi.

En 2002, un quart des nouveaux licenciés et diplômés des universités suisses avaient passé au moins un semestre hors de leur campus et deux étudiants sur dix avaient étudié à l'étranger. Cette information de l'Agence télégraphique suisse est reprise par "24 Heures", qui note que le taux de mobilité estudiantine a plus que doublé entre 1990 et 2003. Mais ces statistiques sont antérieures à la participation de la Suisse au processus de Bologne.

28 février 2006

"Le Temps" de ce mardi s'intéresse à un dispositif mis sur pied par l'équipe du professeur Theo Lasser, du Laboratoire d'optique biomédicale. Il s'agit d'un système d'imagerie laser à effet Doppler à haute résolution et haute vitesse qui permet de capter l'écoulement sanguin. Et donne ainsi des indications sur l'état de santé d'une personne, en lieu et place d'une prise de sang. Des tests cliniques vont démarrer au CHUV et aux HUG. L'appareil sera également testé dans différents services, puis les domaines d'application les plus prometteurs seront définis.

Le marché européen de l'électricité, ses restructurations et ses concentrations. "l'agefi" de mardi aborde ce secteur de l'économie où les places sont rares et chères. En effet, du mouvement en cours, peu parviendront à se placer en tête à la fois géographiquement et industriellement. Pour Matthias Finger, il y a danger de cartellisation, de monopole. "Donc le marché peut aussi avoir des ratées", déclare le professeur de l'EPFL.

Le Palais de Beaulieu est souvent présent, ces derniers temps, dans la presse vaudoise. Cette fois, "24 Heures" se demande comment plus de 96 millions de francs ont pu être engloutis entre 1982 et 1999 dans l'entretien et la rénovation du bâtiment. Réponse: par un "éparpillement" des moyens. Il n'empêche que le mot d'ordre politique actuel est clair: "On reste et on continue", lit-on dans le quotidien, qui conclut que Beaulieu trouvera bien "une complémentarité avec le projet de centre de congrès de l'EPFL".

27 février 2006

Pour la première fois, Vaud dresse un portrait détaillé de sa population étrangère. "24 heures" publiait samedi les résultats: le canton est sur la troisième marche du podium suisse avec 180200 résidents étrangers en 2004, soit 28% de la population permanente. Pourquoi est-il si prisé? Plusieurs réponses sont possibles, du marché du travail, en passant par la langue, la tranquillité, mais aussi le potentiel de formation offert par les écoles internationales, l'EPFL et l'Unil.

Mimotec est une entreprise à succès sédunoise, créée en 1998. Elle a développé des micromoules servant soit à l'injection de composants plastiques et utilisables en grandes séries, soit destinés à l'horlogerie de luxe et à usage unique. Pour le "Nouvelliste" de samedi, Mimotec est l'exemple même de l'esprit entrepreneurial qui "manque en Suisse". On apprend ainsi que c'est un doctorant de l'EPFL, Hubert Lorenz, qui, à l'origine, a réunit ses économies, celles de sa femme et de son associé Nicolas Fahrni. Le produit a alors été conçu à l'EPFL, avant d'être finalisé en terre valaisanne.

L'entreprise BKW FMB Energie mettra son savoir-faire en matière d'énergie solaire au service de Bertrand Piccard et de Solar Impulse. Plusieurs journaux dont "Le Matin" et le "Bund" ont annoncé ce week-end que les deux parties avaient conclu une collaboration portant à la fois sur la technique et sur la communication.

A la tête de l'entreprise Rezonance, Geneviève Morand publie la deuxième édition du "Swiss Innovators Yearbook", un annuaire des innovateurs du pays. Dans "Le Matin Dimanche", elle déclare que le secteur le plus innovant aujourd'hui est celui du développement durable et que la souris de Logitech est certainement l'innovation qui sort du lot. La responsable estime également que l'axe EPFZ-EPFL est toujours le moteur de l'innovation en Suisse. En revanche, la difficulté de notre pays, c'est un marché intérieur très petit.

"24 Heures" de ce jour s'intéresse à un article paru la semaine dernière dans "Flash", journal interne de l'EPFL. Il s'agit d'un texte rédigé par Libero Zuppiroli qui dénonce le règne des "publicistes et communicants" chargés de donner une image "radieuse et triomphante de l'institution". Ce professeur du Laboratoire d'optoélectronique des matériaux moléculaires parle encore d'un "malaise palpable au sein de la communauté EPFL". Contacté par un journaliste de "24 Heures", il n'a pas souhaité commenter ses écrits.

Philippe Thalmann et Andrea Baranzini, respectivement professeur associé à l'ENAC et professeur à la Haute Ecole de gestion de Genève, défendent la taxe sur le CO2 dans le bâtiment. Dans "Le Temps" de ce lundi, ils expliquent que ce "centime du bâtiment" est contraire à la vérité des prix et qu'il profiterait à ceux qui n'ont encore rien fait pour assainir leur bâtiment et réduire leur consommation d'énergie. Enfin, les deux professeurs considèrent qu'il s'agit d'une mauvaise idée pour notre environnement.

24 février 2006

Moins cher que Skype! C'est possible, et c'est une innovation "Made in Switzerland". La start-up qui commercialise cette solution est hébergée depuis 2004 au Parc scientifique d'Ecublens et elle s'appelle… Switzernet. "l'agefi" de ce jour présente le business model de cette entreprise qui repose essentiellement sur un forfait mensuel de 9 francs. Elle compte déjà 500 clients et grâce à une collaboration avec l'EPFL, elle tente d'améliorer la fiabilité du transfert des données lors d'une coupure de réseau.

La fusion des communes a peu pris en Suisse, constate Martin Schuler dans "Le Temps" de vendredi. Le géographe, professeur à l'ENAC, est très impliqué dans les questions de territorialité et il explique cet état de fait par l'existence d'une "force communale élevée" en Suisse. Il cite aussi des problématiques spécifiquement cantonales, comme par exemple dans le canton de Vaud où les volontés politiques ne manquent pas d'être ambiguës.

Toute la presse du jour se fait l'écho de la campagne lancée en matière d'éducation et de formation. En effet, ces deux sujets vont faire une entrée en force dans la Constitution avec de nouveaux articles soumis au peuple et aux cantons le 21 mai. Harmonisation et homogénéité sont les maîtres-mots de la révision prévue. Et si celle-ci ne porte pas sur un véritable transfert de compétences, elle devrait permettre une meilleure coopération entre Confédération et cantons.

Les sciences humaines doivent être mises au même niveau que les sciences naturelles. C'est l'ambition à laquelle aspire la première édition du "World knowledge dialogue", qui se déroulera du 14 au 16 septembre prochain à Crans-Montana. La manifestation se concentrera sur les découvertes scientifiques majeures et plus particulièrement sur les systèmes complexes et les migrations de l'homme moderne. Quelque 300 participants sont attendus. De cette rencontre devrait ainsi naître un "nouvel humanisme". Cette initiative est née dans la tête des professeurs André Hurst, recteur de l'Uni de Genève, et Francis Waldvogel, ancien président des EPF.

A Moscou, le toit d'un marché s'est effondré, provoquant la mort d'au moins 56 personnes. "Le Matin" de ce vendredi consacre une double page à cet accident qui serait dû à l'épaisse couche de neige tombée ces derniers jours, mais aussi à des faiblesses de la coupole. Invité à donner son opinion, le professeur Eugen Brühwiler, lui, ne croit pas que les 40 centimètres de neige pesant sur la structure aient pu engendrer l'effondrement. Ce spécialiste du Laboratoire de maintenance, construction et sécurité des ouvrages, à l'EPFL, pense plutôt que la coupole était déformée ou que l'anneau en béton armé sur lequel elle repose n'était pas parfaitement entretenu. Et de mettre en avant les problèmes de surveillance de bâtiments vieillissants.

23 février 2006

Le Centre suisse d'électronique et de microtechnique intensifie son partenariat avec l'EPFL dans le domaine spatial. Un accord de collaboration, pour une durée de trois ans, a ainsi été signé entre le Space Center et l'institution neuchâteloise. Les deux entités entendent consacrer leurs efforts en robotique, en instrumentation miniaturisée et très petits satellites et en ingénierie des systèmes pour le secteur spatial. A lire notamment dans "l'agefi" et "24 heures" de ce jour.

La conseillère aux Etats Christiane Langenberger s'exprime ce jeudi dans "Le Temps" sur l'avenir de la formation dans notre pays. Elle se penche notamment sur les technologies qui permettent aujourd'hui de poursuivre des études "on line". Un système qu'elle ne considère pas concurrent à l'enseignement classique des universités, mais plutôt complémentaire. La radicale vaudoise estime encore que "l'économie de la connaissance et la société du savoir font de la formation, de la recherche et de la technologie des domaines prioritaires d'investissement pour assurer la prospérité et la cohésion sociale".

22 février 2006

Joli succès pour l'équipe d'Andrea Fiore. Le professeur rattaché au Laboratoire d'optoélectronique quantique et actif au sein du Pôle de recherche national photonique quantique a décroché le pilotage de Sinphonia, un important projet européen. Le professeur doit coordonner les efforts de recherche de dix partenaires (hautes écoles, groupes industriels et start-up) pour mettre au point un détecteur de photons uniques qui puisse être utilisé dans les communications optiques avancées. Une mission qui n'est pas de tout repos, comme en témoignent les articles parus ce jour dans "l'agefi", "24 Heures" et "La Côte".

Carton plein pour la communauté estudiantine de l'EPFL. Le Prix de la recherche ABB a consacré deux de ses membres. Emmanuel Marthe pour sa thèse de doctorat consacré à la technologie PowerLine (accès à internet par le réseau électrique). Quant à Deborah Koch, elle reçoit également les honneurs du groupe industriel pour son travail de diplôme sur les contrôleurs d'oscillations électriques. A lire dans le magazine "Schweizer Maschinenmarkt".