Les avions auraient une voilure plus fine mais plus longue qui permettrait de faire des économies substantielles de carburant, que ce soit du kérosène, du biocarburant ou de l’hydrogène. Ces ailes dites «à grand allongement», tellement longues qu’elles sont soutenues par des haubans, sont connues depuis le milieu du siècle dernier, explique Claudio Leonardi, chargé de cours au laboratoire TRANSP-OR à l’EPFL et chef du projet Clip-Air.