Outre-Sarine, Patrick Aebischer serait "craint". C'est en tous cas ce qu'a appris le président de l'EPFL à l'occasion d'une interview accordée à "Cash". Mais après tout, "un zeste de peur est parfois très utile", rétorque l'intéressé, qui précise qu'il préfère cependant la collaboration à l'esprit de concurrence. D'ailleurs, il n'estime pas que l'EPFL soit en concurrence avec l'EPFZ, mais plutôt avec les universités de Boston, Cambridge, Pékin ou Tokyo. Sur les trois pages de l'article, les sujets abordés ne manquent pas, allant du budget pour la formation aux projets immobiliers du campus, en passant par les rankings.