La Suisse accueille 4000 étudiantes, étudiants, chercheuses et chercheurs chinois dans ses universités. Mais ces dernières années, une défiance est apparue, sur fond de soupçons d'espionnage et d'usage militaire des recherches, avance "Heidi.news". Corinne Feuz, porte-parole de l’EPFL, indique qu’«il n’y a aucune liste noire d’universités dont les étudiants ne seraient plus les bienvenus».