Das Magazine a longuement rencontré Martin Vetterli, président de l'EPFL. Ils ont parlé intelligence artificielle en lien avec l'apprentissage automatique, ChatGPT, OpenAI, la fusion nucléaire, l'ARN et ADN, le Prix Nobel, la guitare, Picasso...
Joël Mesot, président de l'ETH Zurich, et Martin Vetterli, président de l'EPFL, proposent la création d'une task force scientifique permanente à laquelle les autorités et la société pourraient s'adresser pour débattre des défis les plus urgents, tels que changement climatique, intelligence artificielle, etc. "24 Heures" décortique le sujet.
Au cours des deux dernières années, les start-up suisses ont été largement exclues du très convoité programme européen de recherche et d'innovation Horizon Europe et du programme de financement Accelerator du Conseil européen de l'innovation (EIC). Nombreuses sont celles qui décident de quitter la Suisse. Martin Vetterli, président de l'EPFL, explique sur le site "sifted" que cette exclusion impacte tout l'écosystème.
A l'occasion de ses 40 ans, l'association de l'EPFL "Junior Entreprise" a réalisé une interview en vidéo de Martin Vetterli. Le président de l’EPFL y donne notamment son point de vue sur la vie associative au sein du campus et sur les bénéfices mutuels que peuvent retirer les membres d’une Junior Entreprise et les entreprises suisses pour lesquelles les associations travaillent.
Berne prévoit de diminuer le budget alloué aux écoles polytechniques fédérales de 2%. Le président de l'EPFL Martin Vetterli s'inquiète de ces coupes à un moment où les EPF sont déjà affectées par l'exclusion d'Horizon 2020 alors que le personnel qualifié manque.
L'essor fulgurant de l'IA questionne les fondements de l'approche scientifique: les liens de causalité et donc la preuve de vérité. Pour le président de l'EPFL Martin Vetterli, les derniers développements de l'intelligence artificielle mettent aussi en lumière des rivalités comparables à la course aux armements nucléaires.
L'intelligence artificielle a animé les discussions à Davos, lors du Forum économique mondial la semaine dernière. Pour le président de l'EPFL Martin Vetterli, il faudrait mettre en place une gouvernance internationale, comme ce fut le cas notamment autour de l'atome.
L'exclusion de la Suisse des programmes européens est de plus en plus douloureuse pour le monde scientifique. Martin Vetterli, président de l'EPFL, déplore que la science subisse les dommages collatéraux des discussions politiques.
Si les problèmes et les solutions techniques sont identifiés assez rapidement, la dernière étape décisive - à savoir la mise en oeuvre et l'acceptation par la société - fait souvent défaut. Pourquoi?, s'interroge Martin Vetterli, président de l'EPFL, dans le Temps.
Dans sa dernière chronique dans le SonntagsBlick, le président de l'EPFL Martin Vetterli prend du recul pour parler de son amour pour la science. Avec humilité et sans ChatGPT.
En 75 ans, la Suisse a connu trois vagues de fuite des cerveaux: juste après guerre, en 1992 et... en ce moment, pour plusieurs raisons mises en avant par l'Agefi. Martin Vetterli, président de l'EPFL, a notamment récemment confié à Bilan qu'il a été témoin de quelques départs de scientifiques de l'EPFL.
Martin Vetterli, président de l'EPFL, signe une tribune dans la NZZ et plaide en faveur d'une prise de conscience de la société du problème climatique. Le problème est identifié, des solutions techniques existent, il est maintenant de la responsabilité de la société de les mettre en œuvre.
Le président de l'EPFL Martin Vetterli répond cette semaine à la question d'une lectrice du SonntagsBlick: comment les scientifiques se coordonnent-ils dans le monde entier pour ne pas faire de la recherche sur quelque chose qui existe déjà depuis longtemps?
Martin Vetterli répond cette semaine aux questions des lectrices et lecteurs du Blick sur un sujet chaud: quelles nouvelles technologies seront à notre disposition à l'avenir pour la production d'énergie?
Dans un large dossier consacré aux conséquences de l'échec de l'accord-cadre avec l'Union européenne, "Bilan" cite Martin Vetterli, président de l'EPFL: «On voit régulièrement des chercheurs partir. Même si nous restons très compétitifs dans le cadre de travail et la qualité de notre environnement, force est de constater qu'ils sont inquiets.» Une étude du Secrétariat d'État à la formation, à la recherche et à l'innovation confirme les préoccupations croissantes des chercheurs en Suisse.
L’abandon des négociations avec l’UE sur un accord-cadre est lourd de conséquences pour la recherche. Martin Vetterli, président de l’EPFL, Michael Hengartner, président du Conseil des EPF, et Yves Flückiger, président de swissuniversities, s'en inquiètent.
«Sur Horizon 2020, la Suisse romande a reçu 42% du financement européen qui revenait à la Suisse, et c'est environ 3o% lorsque les
financements viennent de Berne», a déclaré le président de l'EPFL, Martin Vetterli lors du Forum des 100.