Revues de presse

12 novembre 2002

La prise de position du professeur de l'EPFL, Philippe Bovy, a eu des échos importants dans la presse, souligne le 24 heures (2160593). "Daniel Brélaz a réagi de manière virulente chez nos confrères du Temps", relève le quotidien. Ainsi qu'auprès de collègues puisque "l'ingénieur Roland Ribi, n'a pas hésité lui à écrire au président de l'institution fédérale pour dénoncer son collègue". Ce dernier craint que la prise de position du professeur soit assimilée à celle de l'école.

04 février 2002

La norme 802,11 b, alias Wi-Fi ou Wireless Fidelity, ne constitue pas une priorité pour les fournisseurs d'accès Internet en Suisse. Autre son de cloche à l'EPFL, relève 24 Heures (1202218) : " Plusieurs unités de bâtiments sont déjà connectées et une équipe de spécialistes travaille sur un réseau sans fil de la prochaine génération. " " Un réseau dans lequel chaque terminal joue également le rôle d'émetteur, explique brièvement Martin Vetterli ", professeur à l'EPFL que le quotidien appelle " Wetterli ".

26 novembre 2001

Le Temps consacre une page au Pôle de recherche national (PRN) sur les systèmes d’information et de communication mobiles piloté par les chercheurs de l’EPFL, dont Martin Vetterli en photo dans le quotidien. Dans son commentaire, le journaliste observe que l’EPFL "est la seule haute école en Suisse à disposer d’un département entièrement dédié aux systèmes de communication", département où enseigne Martin Vetterli. Tout est réseau aujourd’hui. Nous vivons et travaillons en réseau, nous surfons sur le réseau des réseaux et nous dénonçons les réseaux occultes, terroristes notamment. Nous téléphonons aussi en réseau. Mais notre téléphone mobile pourrait s’enrichir d’une nouvelle fonction, celle de terminode. "Les réseaux de télécommunications mobiles utilisés aujourd’hui sont construits selon une chaîne classique qui comprend des antennes, des centraux téléphoniques, des câbles, des bases de données", observe Le Temps. Il s’agit d’une structure centralisée, le terminal, le téléphone portable donc, devant passer par une antenne elle-même reliée à un central. Les scientifiques du PRN imaginent un maillage dans lequel le terminal servirait aussi de relais. "Par exemple, un mobile relaierait des données dans ses environs les plus proches. Ce terminal-relais s’appelle terminode." Cette avancée technique ferait entrer dans l’ère des réseaux auto-organisés.

15 octobre 2001

Des habitants du val d'Anniviers ont imaginé leur avenir dans le cadre d'un atelier organisé par des étudiants en génie rural de l'EPFL. "Trois jours pour rêver d'un futur idéal, pour en débattre et pour prendre des engagements à court terme et à moyen terme. Telle est la démarche menée par une quarantaine d'habitantes et d'habitants du val d'Anniviers, en Valais, du 28 au 30 septembre dernier", relate 24 Heures.