Revues de presse

20 septembre 2012

Les cours online mettront la pression sur les cours traditionnels. C'est en tout cas l'avis de Martin Vetterli, doyen de la faculté Informatique et Communications à l'EPFL. Son interview, à 58 minutes, dans le journal de Couleur 3. Il est invité également par l'émission On en parle. Cette révolution académique relatée aussi dans 24 Heures.

08 mars 2012

L'Hebdo brosse le portrait de Martin Vetterli, actuel doyen de la faculté Informatique et communications, nommé président du Fonds national suisse de la recherche scientifique (FNS).

05 mars 2012

"Le Matin dimanche", "L'Express" et la "NZZ" reviennent sur la nomination de Martin Vetterli, doyen de la Faculté IC, à la tête du Fonds national.

03 janvier 2012

2012 est le centenaire de la naissance d'Alan Turing."Le Temps" brosse le portrait du père des ordinateurs, dont il a posé les bases théoriques en 1936. Martin Vetterli, doyen de la Faculté IC et Yves Bolognini, fondateur du Musée Bolo de l'histoire de l'informatique apportent leurs éclairages.

26 août 2011

La Liberté consacre un article au cofondateur d'Apple, résume sa carrière en trois photos et donne la parole à Martin Vetterli, doyen de la Faculté informatique et communications à l'EPFL.

16 juin 2011

Le doyen de la faculté Informatique & Communications, Martin Vetterli, observe que l'Europe n'a pas pris la place qu'elle mérite dans le monde tissé par la toile, le Web, "miroir du monde réel". Il signe une chronique dans l'Hebdo.

18 mars 2008

Le groupe Qualcomm, spécialiste de la communication sans fil, a racheté cinq brevets déposés par le Laboratoire de communication audiovisuelle de l'EPFL, dirigé par Martin Vetterli. Ce professeur, qui est également vice-président de l'Ecole, a développé des algorithmes permettant d'obtenir des objets numériques de meilleure qualité en leur conférant la précision d'un signal analogique. La société américaine les utilisera notamment pour améliorer la résolution des appareils photo intégrés aux téléphones mobiles, ainsi que pour le développement d'un service de géolocalisation sans GPS. A lire dans "Le Temps".

14 janvier 2008

Le groupe Qualcomm, spécialiste de la communication sans fil, a racheté cinq brevets déposés par le Laboratoire de communication audiovisuelle de l'EPFL, dirigé par Martin Vetterli. Ce professeur, qui est également vice-président de l'Ecole, a développé des algorithmes qui permettent d'obtenir des objets numériques de meilleure qualité en leur conférant la précision d'un signal analogique. La société américaine les utilisera notamment pour la résolution des appareils photo des téléphones mobiles, ainsi que pour le développement d'un service de géolocalisation sans GPS. A lire dans "Le Temps".

24 janvier 2007

Après l'Inde, la Chine? Selon une étude publiée par un institut britannique, l'Empire du Milieu est promis à devenir la première puissance scientifique mondiale d'ici 2050. Pas étonnant donc que des groupes industriels et commerciaux occidentaux commencent à investir à tout-va. L'EPFL n'est pas en reste, elle qui a annoncé un renforcement de sa collaboration avec l'Université de Tsinghua, institut de technologie chinois des plus réputés. Martin Vetterli, vice-président pour les relations internationales, fournit toutes les explications sur ce partenariat à la "Radio suisse romande".

02 mai 2005

Il n'y aura pas de collaboration entre l'EPFL et le Stanford Research Institute (SRI) en matière de transfert de technologies. "Le Temps" révèle qu'une structure commune à l'EPFL, le CSEM, Swisscom et le SRI dans le domaine des télécoms et de l'informatique aurait pu être créée en Suisse, suite à la volonté de l'entité américaine de s'implanter outre-Atlantique. Il semble que cela soit des divergences relatives à la redistribution des royalties entre les partenaires qui ait fait capoter le projet. Selon le vice-président Martin Vetterli, "le montage du projet était très alambiqué et les Américains voulaient de l'argent ainsi qu'une structure très lourde, ce que nous ne privilégions pas".

31 janvier 2005

"PME Magazine" de février revient sur les accords d'échanges scientifiques signés par Pascal Couchepin avec la Chine et l'Inde. Un "échange de cerveau dans les technologies de l'information, la nanotechnologie et la biologie" dans lequel "les deux écoles polytechniques fédérales joueront le rôle phare", précise le mensuel. Concrétisations les plus immédiates de cet accord: une maison suisse pour la science, la technologie et la culture qui sera ouverte à Shanghai en 2006, suivie par une structure jumelle en Inde. Le magazine cite Martin Vetterli, vice-président pour les relations internationales, pour lequel "l'avenir de la science se trouve à l'Est". "Aux EPF maintenant de développer les contacts avec l'Empire du Milieu", estime pour sa part "PME Magazine".

26 mars 2004

(L’AGEFI, Le Temps) Quatre vice-présidents ont été nommés hier par le CEPF, aux côtés de Patrick Aebischer. Deux nouveaux, les professeurs Giorgio Margaritondo et Martin Vetterli, rejoignent, respectivement, les dicastères des Affaires académiques et des Relations internationales. Le professeur Stefan Catsicas abandonne la recherche pour l’innovation et la valorisation. Quant au professeur Francis-Luc Perret, il garde la responsabilité de la planification et de la logistique. Les personnes désignées entreront en fonction le 1er octobre 2004. Le professeur Marcel Jufer poursuivra par ailleurs la réforme de la formation liée à l’introduction du cycle complet Bachelor/Master, dont plusieurs étapes ont été déjà accomplies.

20 février 2004

Un cours-atelier spécialement dédié aux jeunes filles sur le thème d‘Internet s’est déroulé à l’Ecole de novembre 2003 à mars 2004. Il a été financé par une petite partie du budget du programme de recherche suisse en système d’information et de communication mobile. Samedi dernier, le professeur Martin Vetterli, directeur du programme de recherche, a remis les attestations aux quarante participantes Au vu du succès, l’atelier, qui reprendra dès le mois de mars, sera dédoublé.

03 mars 2003

Parler d'enthousiasme dans la presse du jour est un doux euphémisme. C'est une véritable ivresse d'enthousiasme qui s'est emparée des journalistes et qui a fait fondre jusqu'aux dernières traces du Röstigraben ! De la sage et austère NZZ au très populaire Blick, les Suisses alémaniques ne lésinent pas sur les titres : " Alinghi ! La Suisse doit de nouveau apprendre à gagner " s'exclame la Sonntags Zeitung, " Du vent frais pour l'économie ", renchéri le Sonntagsblick, alors que la NZZ salue la " constance, l'efficience et la fiabilité, les signes distinctifs d'Alinghi ". Dimanche.ch révèle les " secrets d'un tour de magie ". A souligner la parution dans Bilan, du 1er mars, d'un article consacré plus spécialement à l'EPFL., " vainqueur de la Coupe de l'America ". Interrogé sur la portée de cet événement sportif, Stefan Catsicas note : " Les hautes écoles du monde entier savent que c'est l'EPFL et personne d'autre qui est le conseiller scientifique d'Alinghi. ". Le prof. Manson, coordinateur du partenariat avec Alinghi souligne de son côté l'importance des résultats de recherches fondamentales qui ont pu s'appliquer au jour le jour. " Le sport, dit-il, est un moyen de faire avancer la technologie. ". Et Stefan Catsicas de renchérir : " S'il y a un Alinghi 2, nous sommes prêts à nous investir davantage encore. Ce projet s'insère parfaitement dans notre stratégie de développement de la recherche. C'est un projet de grande visibilité qui nous permet de mettre en valeur les technologies de pointe que nous développons tous les jours à l'EPFL. " Et ça repart ce matin avec le Temps ; " Un exploit qui époustoufle les Suisses et stupéfie le monde entier " et la Liberté constate : "Alinghi était tout simplement trop fort. " Le président de la Confédération, Pascal Couchepin, a salué l'exploit des Suisses mais aussi l'EPFL qui signe là une belle victoire, et Ernesto Bertarelli, l'homme du jour sinon de l'année, promet : " J'irai au Cervin " ! Dans ce concert de louanges, un seul commentaire acide, celui de Manuel Grandjean dans le Courrier: " Qu'un richissime patron s'offre un trophée nautique, cela devrait compenser le sport moins honorable pratiqué par d'autres, recordmen du licenciement collectif ou habitués des parachutes dorés. Prétendre comme l'a fait le président Couchepin que la victoire d'Alinghi est le symbole d'une Suisse " multiculturelle, ouverte et créative ", c'est vraiment prendre les enfants de Tell pour des pommes."

Le Temps se fait l'écho de l'étude publiée par l'OCDE intitulée " Regards sur l'éducation 2002 ". Premier constat : les diplômés du niveau tertiaire gagnent sensiblement plus que les autres. L'avantage salarial va de 33% ou moins en Italie, Norvège, Nouvelle Zélande, à 80% ou plus en Finalnde, en Hongrie,au Portugal et République tchèque. Une étude qui contraste avec l'une des rares analyses disponibles en Suisse, réalisée par un professeur d'économie de l'Université de Berne, Stefan Wolter, et Bernhard Weber, du Secrétariat à l'économie. Pour ces deux chercheurs, en effet, une des conclusions majeures repose sur une constatation inattendue qui a surpris le monde de l'éducation : : c'est le diplôme de maturité qui procurerait le surcroît de rendement le plus intéressant par rapport au niveau de formation inférieur. Le surcroît de rendement des filières de formation supérieure est, aux yeux des auteurs de l'étude, si faible qu'il ne justifie pas une participation financière accrue des personnes en formation aux coûts induits par celle-ci.. Une analyse qui devrait continuer d'apporter de l'eau au moulin à ceux qui se battent contre la non-augmentation des taxes universitaire. Une réalité plus vraie en Suisse alémanique, où le temps des études universitaires est plus long, qu'en Suisse romande. Les lecteurs intéressés par ce sujet se reporteront notamment au tableau publié dans l'article et qui présente, de manière très claire, les pourcentages de revenu en plus par rapport au niveau de formation.

28 février 2003

La professeur Ruth Freitag, qui dirige l'équipe du Laboratoire de biotechnologie chimique de l'EPFL, a décidé de créer, avec l'ancien Président de l'EPFL, Jean-Claude Badoux, et Frank Hilbrig, la start-up Polytag. Cette entreprise commercialisera une nouvelle technologie de purification des biomolécules. Créée en 2002 et totalement autofinancée, la société est déjà en contact avec l'industrie. " Par rapport à la chromatographie d'affinité, notre processus est beaucoup moins onéreux et peut être utilisé à grande échelle. C'est également, explique Ruth Freitag, une méthode beaucoup plus rapide et qui permet une manipulation beaucoup plus aisée. "