Des recherches menées par le Laboratoire de Carmen Sandi de l’EPFL et du Nestlé Institute of Health Sciences révèlent que la nutrition peut être un outil pour améliorer la motivation.
Une étude du laboratoire de la professeure Carmen Sandi de l’EPFL et du Nestlé Institute of Health Sciences révèle que le stress oxydatif dans le cerveau a des répercussions négatives sur la motivation. Les résultats montrent également que la motivation peut être améliorée par la nutrition.
De récentes études démontrent le lien entre un sale caractère et les maladies cardiovasculaires. Par exemple, l'activation du système de stress est plus fréquente chez les individus présentant un comportement agressif. Les explications de Carmen Sandi, professeure en neurosciences à l'EPFL.
Le stress, pendant l'enfance et à l'adolescence, altère l'apprentissage et la mémoire. Il augmente également l'anxiété à l'âge adulte. Le laboratoire de Carmen Sandi, à l'EPFL, a participé à cette recherche.
Le laboratoire de Carmen Sandi a participé à la recherche menée par l'Université Miguel Hernández d'Alicante, en Espagne. Ses travaux ont conclu que les altérations à long terme ne sont pas dues aux effets prolongés du stress pendant l'adolescence, mais à une maturation différente des voies de régulation du stress à la suite d'expériences stressantes répétées.
La professeure Carmen Sandi de l’EPFL et le docteur Gedi Luksys de l’Université d’Edimbourg ont tenté de répondre à la question: "pourquoi est-il si difficile d’être motivé, ou bien de le rester?" Ils ont découvert que le degré de motivation et la persévérance qui permet de l’entretenir dépendent de la proportion des neurotransmetteurs glutamine et glutamate dans le noyau accumbens de l’encéphale.
Swissinfo (en espagnol) a rencontré Carmen Sandi, Responsable du Laboratoire de Génétique Comportementale de l’EPFL pour la série «La ciencia en Suiza habla español». La scientifique espagnole parle de ses travaux de recherche portant sur différents aspects du stress.
Des scientifiques tentent de comprendre si la violence peut être inscrite dans notre ADN. "La Matinale", sur "RTS La 1ère", a interviewé à ce sujet Carmen Sandi, professeure au Laboratoire de génétique corportementale de l'EPFL.
Chez les souris, l'agressivité se soigne ainsi que l'ont démontré des scientifiques de l'institut des neurosciences de l'EPFL. Ils ont identifié certains des mécanismes neurologiques clés contrôlant l'agression. L'émission CQFD met en lumière la recherche effectuée par le laboratoire de Carmen Sandi.
Le laboratoire de Carmen Sandi à l'EPFL vient de montrer que de faibles doses de diazépam aident des rats fortement anxieux à surmonter leur désavantage dans la compétition sociale et à accroître leur habilité à rivaliser socialement.
Les équipes de Carmen Sandi de l’EPFL et de Lorenz Goette de l’UNIL ont démontré que le stress peut stimuler la confiance compétitive de personnes dont le trait d’anxiété est faible, mais qu’il la diminue pour des individus au trait d’anxiété élevé.
Les petits stress de la vie quotidienne ont un impact sur la santé: ils augmentent les risques de maladies cardiovasculaires et affaiblissent le système immunitaire. Le site de "Fox news" cite les études à ce sujet de Carmen Sandy, directrice du Brain Mind Institute.
Une recherche de Carmen Sandi concluant à la persistance durable de troubles en cas d'exposition à la violence est évoquée dans le cahier santé du Nouvelliste.
Les individus violents ont souvent eux- même subi des traumatismes psychologiques durant l’enfance. On en a maintenant la demonstration scientifique. Guillaume Poirier, du Laboratoire de Carmen Sandi, était sur les ondes de la RTS pour en parler.
Une recherche conduite à l'EPFL par Carmen Sandi, du Brain Mind Institute, a pu démontrer que des traumatismes subis dans l'enfance modifiaient définitivement certaines cellules du cerveau.