La biotechnologie suisse a réalisé une meilleure performance que la moyenne européenne en 2009, en grande partie grâce à un accès plus facile au capital-risque qui se fait beaucoup plus rare et sélectif, note "Le Temps". Néanmoins l'argent ne coule plus à flots, même si les optimistes estiment que la recherche va continuer avec d'autres formes de financement, comme celles rendues possibles par des partenariats universités-entreprises, selon le modèle mis en place par l'EPFL.