Revue de presse du lundi 2 septembre 2019
L'EPFL fête ses 50 ans
A l'occasion du cinquantième anniversaire de l'EPFL, "RTS Un" a invité Martin Vetterli, président de l'EPFL sur son plateau pour une interview. Sont abordés notamment l'importance des classements d'universités, la communication et visibilité de l'Ecole, la liberté académique et les axes de recherche des prochaines années.
ClearSpace pour une collecte des déchets extraterrestres
La "Neue Zürcher Zeitung" a suivi Luc Piguet, CEO de ClearSpace, une spin-off du Space Center de l’EPFL qui veut capturer les débris spatiaux. Il présente notamment un prototype muni de quatre bras extensibles qui déploient une bâche destinée à recueillir les déchets.
Supplément spécial EPFL
La "NZZ am Sonntag" consacre un supplément spécial entièrement dédié à l'EPFL, à l'occasion de son cinquantième anniversaire.
- NZZ am Sonntag - Warum wir alle auf die EPFL stolz sein können
- NZZ am Sonntag - «Wir machen aus unseren Studierenden Bürger, die sich für das Wohl...
- NZZ am Sonntag - 76 Verbände halten den Campus auf Trab
- NZZ am Sonntag - Ziele der nachhaltigen Entwicklung im Fokus
- NZZ am Sonntag - Ein Campus mit beflügelnder Architektur
- NZZ am Sonntag - Studentenprojekte werben für die Hochschule
- NZZ am Sonntag - Früh auf Technologietransfer ausgerichtet
- NZZ am Sonntag - Drei Blickwinkel zum Jubiläum
- NZZ am Sonntag - Entdeckungen belegen Forschungstalent
- NZZ am Sonntag - Auf die Berufe von morgen vorbereiten
- NZZ am Sonntag - Internationaler multikultureller Campus
- NZZ am Sonntag - Von der kantonalen Bildungsstätte zur eidgenössischen Hochschule
- NZZ am Sonntag - Die Welt des Sports als Experimentierfeld
- NZZ am Sonntag - Einen Blick in die Zukunft wagen
Un biocapteur médical primé au concours SensUs
Onze étudiants de I'EPFL ont participé vendredi à la compétition SensUs à Eindhoven, aux PaysBas. Le but était de concevoir un biocapteur médical capable de mesurer rapidement la concentration d'adalimumab. Les étudiants ont obtenu un prix: la 2ème place dans la catégorie de potentiel d'industrialisation. A lire dans "L'Agefi".
Une immersion collective et virtuelle dans les émotions
Le 7 septembre, les "Surprises du cerveau" présentent à Crans-Montana en première européenne une expérience où 300 personnes pourront découvrir un cerveau de l'intérieur, à l'aide de casques de réalité virtuelle. L'ArtLab de l'EPFL fait partie de l'organisation. Le professeur Pierre Magistretti, doyen de la Faculté de biologie et sciences de l'environnement à l'Université KAUST en Arabie saoudite et affilié à l'EPFL est cité.
Pix4D vole toujours plus haut
"24 Heures" s'intéresse à Pix4D, une entreprise issue d'une technologie développée par le Laboratoire de vision par ordinateur de l'EPFL. Née en 2011, la société spécialisée dans les logiciels de traitement d'images de drones et leur modélisation 3D compte aujourd'hui 200 employés. dont 130 viennent d'emménager à Prilly-Malley.
Diodes superluminescentes
La "Neue Zürcher Zeitung" consacre une interview à Christian Vélez. Le physicien mentionne sa collaboration avec Nicolas Grandjean, professeur EPFL au Laboratoire en semiconducteurs avancés pour la photonique et l'électronique. Ensemble, ils ont travaillé sur les cristaux de nitrite de gallium, ce qui a mené à la création d'Exalos, une société active dans les diodes superluminescentes.
Un nouveau centre d'imagerie
Dans une interview à "L'Agefi", Nouria Hernandez, rectrice de l'Université de Lausanne, déclare : " Nous sommes en train de mettre sur pied avec l'EPFL un centre d'imagerie commun qui portera le nom de notre nouveau prix Nobel [Jacques Dubochet]." Elle mentionne également une autre collaboration entre l'UNIL et l'EPFL, le "centre du cancer".
Patrick Aebischer, visionnaire
"Le Temps" dresse le portrait de 25 visionnaires pour la Suisse et l'Europe. Parmi eux, Patrick Aebischer, ancien président de l'EPFL, qui s’est investi durant dix-sept ans pour que l’EPFL puisse se hisser au rang des meilleures écoles du monde.
"Si rien n'est fait, nous allons manquer d'eau douce"
Eric Davalle, chargé de cours en économie hydraulique à l'EPFL signe une tribune dans le journal "24 Heures". Selon lui, "en tenant compte d'une croissance démographique exponentielle, le déficit hydrique sera de plus de 40% en 2030. Sachant que plus de 90% de l'eau douce se trouve en souterrain, l'activité humaine et ses nombreux rejets polluants contribuent à contaminer les réserves d'eau dont nous avons tous besoin. Si rien n'est fait, nous allons terriblement manquer d'eau douce."