Revue de presse du lundi 15 janvier 2018
L'imagerie pour tous
Dans un article d'opinion, "Le Temps" s'arrête sur l'inégalité de l'accès à l'imagerie médicale selon la richesse des pays. Klaus Schönenberger, responsable du programme Essential Tech, à l'EPFL, est cité. Avec son équipe, il développe des appareils conçus spécialement pour les pays pauvres.
Une intelligence sous contrôle
Des chercheurs de l’EPFL ont montré comment l’humain peut garder l’ultime contrôle sur un ensemble de plusieurs éléments guidés par l’intelligence artificielle. A lire dans la "SonntagsZeitung".
L'erreur est informatique
Dans sa chronique du "SonntagsBlick", Martin Vetterli, a choisi cette semaine d'expliquer au grand public pourquoi nous ne pourrons jamais être sûrs qu'une erreur ne s'est pas glissée dans les calculs informatiques.
Les rues de San Francisco, miroir de la révolution digitale
De retour d'une grand messe de la biotechnologie qui s'est tenue à San Francisco, Patrick Aebischer, ancien président de l'EPFL, livre à la "NZZ am Sonntag" ses réflexions sur les inégalités créées par la révolution digitale.
Des bracelets suisses pour les prisonniers américains
Des prisonniers américains pourraient bientôt être équipés des bracelets électroniques développés par la start up Geosatis, fondée à l'EPFL en 2011. A lire dans "L'Agefi".
Le sol qui nous observe
La start up Technis, qui développe des sols bardés de capteurs, fait l'objet d'un article dans le "Freiburger Nachrichten".
Une rencontre fructueuse entre art et science
Arrivée il y a dix ans dans ses locaux de Renens, l'ECAL propose une exposition de 300 projets pour marquer le coup. Parmi les objets qui ont marqué la décennie de l'Ecole, "24 Heures" cite la Steribox: un kit de stérilisation pour les outils médicaux peu gourmand en énergie. Cette boîte qui devrait bientôt arriver sur le marché est le fruit d'une collaboration entre un étudiant de l'ECAL et une start up de l'EPFL, Sterilux.
Pionnière de la neurochirurgie
"24 Heures" dresse le portrait de Jocelyne Bloch, première neurochirurgienne de Suisse romande, dont l'un des projets de recherche est de faire remarcher des paraplégiques. Cette étude est pilotée par Grégoire Courtine, professeur à l'EPFL.
Bouger pour travailler?
"Les Echos" se penche sur la mobilité liée au travail. Des collaborateurs licenciés suite à la fermeture d'une entreprise vont-ils pouvoir mieux rebondir ailleurs? Vincent Kaufmann, professeur de sociologie urbaine et d'analyse de la mobilité, est parmi les experts interviewés.