Revue de presse du vendredi 10 mai 2002

http://www.epfl.ch/entreprises

" Valorisation et transfert de technologies, cours de postformation, service de recrutement de personnel qualifié, assistance à la création d'entreprise forment, entre autres, les prestations proposées aux milieux économiques par l'institution lémanique ", soit par l'EPFL, recense Le Temps (1327773). Afin de faciliter l'accès à ces services, précise le quotidien, " l'EPFL vient de lancer un portait d'entreprise. " A qui s'adresse-t-il ? " Aussi bien aux PME de la région qu'aux multinationales et aux start-up, tous secteurs confondus. " " Nous avons ratissé large ", précise Elaine McMurray, responsable du projet e-pfl.

Une découverte qui fait des bulles dans la presse

La publication dans Nature d'un article cosigné par deux chercheurs de l'EPFL, le professeur Giorgio Margaritondo et son assistante Amela Groso, a fait des bulles dans la presse. 24 Heures (1327831) annonce en titre " des prises de vues aux rayons X à la vitesse de l'éclair ", avant de préciser qu'un nouveau procédé de radiographie a permis notamment de " filmer ce qui se passe lors de la production d'un revêtement métallique. " Les images ont révélé un phénomène étonnant : le dégagement de minuscules bulles de gaz, dont le métal épouse la forme en se déposant. Ces bulles disparaissent presque instantanément, mais laissent une trace de leur fugitive existence : des défauts microscopiques, qui nuisent à la qualité du revêtement. " L'origine de ces défauts étant maintenant connue, il sera possible de les minimiser en modifiant les conditions de la métallisation ", précise le professeur Margaritondo. L'Agefi (1327912) évoque une " avancée majeure " dans le domaine de la radiologie, mettant également l'accent sur les " répercussions industrielles ". " L'EPFL filme la formation de bulles de métal en direct ", remarque Le Temps (1327602). Le site http://www.etudiants.ch/ reprend tel quel le communiqué de presse.

Les robots vous concernent !

Un journaliste de La Liberté (1327147) a ramené de sa visite de l'arteplage de Neuchâtel un petit catalogue des expositions à y découvrir sur le thème des technologies du futur. Il avoue s'être senti " déstabilisé " par les robots de l'EPFL considérés comme les machines " les plus interactives du monde. " Selon lui, les visiteurs doivent apprendre un nouveau type de relation avec ces robots qui leur servent de guides. " Notre message central est de permettre aux visiteurs de faire l'expérience de ce rapprochement. Et c'est une affaire qui nous concerne tous ", confirme le professeur à l'EPFL Roland Siegwart.

Que faites-vous ce week-end?

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