Revue de presse du mardi 12 mars 2002

Big bang à l'IDIAP

L'Agefi (1256881) consacre un article à l'Institut Dalle Molle d'intelligence artificielle perceptive (IDIAP) de Martigny. Et évoque tout l'avantage que ce " petit " institut, dirigé par Hervé Bourlard, tire de son rôle de coordinateur du pôle de recherche national nommé Interactive Multimodal Information Management. Le quotidien précise également que l'IDIAP se trouve aujourd'hui " au centre d'une toile qui se rattache fortement à l'EPFL… ".

Et l'EPFL créa la molécule virtuelle, suite de la suite, mais pas fin

La molécule virtuelle née à l'EPFL du cerveau réel d'un jeune chimiste continue à faire parler d'elle : découvrez-là dans La Côte (1256207) et Le Matin (1253054).

Teraflop contre Petaflop

La semaine passée (lire la revue de presse du 7 mars), Le Nouvelliste (1256652) évoquait la rencontre à venir réunissant trois jours durant à Loèche-les-Bains les cracs de la planète en matière de superordinateurs aux qualités tera et même petaflopiques. Aujourd'hui, Le Nouvelliste évoque la même rencontre qui vient de se terminer avec une différence de taille dans son illustration. Certes, il s'agit de la même photographie, mais cette fois le quotidien valaisan a trouvé la place de laisser apparaître deux personnages à droite de l'illustration, soit les organisateurs de ces journées qui sont Pierre Kuonen de la Haute école valaisanne et Ralf Gruber de l'EPFL.

Les chantiers universitaires

Le Temps (1256419) publie un long dossier sur les chantiers universitaires en cours à Lausanne, Genève et Neuchâtel. Le quotidien décrit la lutte des " universités romandes pour leur indépendance. " Dans un éditorial (1256448) accompagnant le dossier, Nicolas Dufour estime que " les cantons ratent le virage académique ". Et le journaliste de s'indigner : " A l'heure où les hautes écoles doivent réformer leurs cursus, augmenter leurs collaborations, faire face à une concurrence féroce pour l'embauche de professeurs ainsi que développer une politique de la relève digne de ce nom, il n'est plus temps de verser dans les querelles de clocher cantonalistes. A ce titre, il est regrettable de constater que les révisions légales se déroulent en circuit fermé dans chaque canton au moment même où les hautes écoles de Genève, Lausanne et Neuchâtel annoncent vouloir se développer en commun. "