Revue de presse du mardi 5 février 2002
Les perspectives industrielles de la cryptographie quantique
Avant d'être mesurées, les particules ont une existence plus virtuelle que réelle, dit à peu près la physique quantique. Il en va de même des articles de l'Agefi, virtuellement tous favorables à l'EPFL, jusqu'à ce que la perception des quatre lettres magiques de l'école ne leur donne un caractère réellement favorable. C'est le cas de cet éclairage sur la cryptographie quantique, qui évoque les voies ouvertes par cette science pour " pallier les limites de la miniaturisation des processeurs ". L'EPFL apparaît subitement dans un encadré à l'article évoquant le pôle de rechercher national en photonique quantique placé sous la houlette du professeur Marc Ilegems.
BioWall, suite et non fin
Le nombre d'articles évoquant le BioWall tendant vers l'infini, ils seront dorénavant répertoriés systématiquement, sans plus de commentaire, dans la revue de presse du 30 janvier. En attendant la copie électronique de l'article, vous trouverez ci-dessous le lien qui vous renvoie vers le compte-rendu publié par Le Monde. http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3244--261412-,00.html
- - Aurèle Parriaux, directeur du GEOLEP
- - Invitation
- - Plan de situation et bulletin-réponse
- - Communiqué en version PDF
Selon Ernesto Bertarelli, l'EPFL fait partie du " terreau romand "
L'ATS a eu la bonne idée de faire une interview d'Ernesto Bertarelli, le Nouvelliste de la publier et le patron de Serono d'évoquer l'Arc lémanique : " Le terreau romand, avec les universités de Genève et Lausanne ainsi que l'EPFL permet de garder et d'attirer de nouveaux talents. "
- - 1205241.pdf
- - Benoît Dubuis, doyen de la Faculté des sciences de la vie
- - Communiqué Lashuel en format PDF
Nelly Wenger a vainement tenté d'embrasser Robox
La directrice d'expo.02 était de passage à l'EPFL hier pour une visite non officielle, qui n'est pas passée inaperçue. 24 Heures rapporte la rencontre de Nelly Wenger avec la dizaine de robots développés par les étudiants du professeur Roland Siegwart. Ces gentils robox divertiront les visiteurs de l'exposition nationale. Charmée par l'un d'eux, Nelly Wenger a tenté de l'embrasser, avant d'y renoncer Robox manquant de joues. Elle s'est alors exclamée : " C'est génial, je pense qu'il rencontrera beaucoup de succès. Il est sympa et pas du tout effrayant. "